castman.fr – La technologie, à la portée de tous ! Toujours d’actualité … Écologie et technologie en harmonie, est-ce encore de l’utopie ? Sur mon site, vous trouverez une mine d’informations, sur les produits high-tech en général. Vous trouverez aussi, des tutoriels, des astuces, mes coups de gueule et mes coups de cœur, sans oublier, mon espoir sur le thème “Je contribue, pour ma planète !“. Je n’ai pas la science infuse, mais c’est la science qui fuse.

Smartphone ASUS ZenFone Go (ZB552KL), 4 cœurs, écran IPS de 5,5″, 2Go et 16Go de stockage, à partir de 149,99€.

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C’est un produit intéressant, même s’il est facile de le comparer à un produit d’importation, avec un prix qui avoisinerait les 119€ et ayant des caractéristiques supérieures.

Mais ici, il est disponible en France et dans plusieurs enseignes, avec un prix qui débute à 149,99 €, et même en dessous !

De plus, c’est la marque ASUS, même si …

Ce qui m’intéresse sur l’ASUS ZenFone Go (ZB552KL) qui est en 4G, c’est son écran IPS de 5,5″, avec un processeur 4 cœurs…Oui, je sais ! Actuellement, on trouve des Octa-Core ! Mais, à force de les tester, je vous confirme qu’il est préférable d’utiliser un smartphone avec 4 cœurs avec une optimisation parfaite, qu’une version en 8 cœurs, qui ne sait même pas qu’il possède en son sein, un processeur 8 cœurs, résultat, souvent une mauvaise optimisation qui se ressent lors de la navigation et dans son utilisation globale.

Je poursuis, avec les caractéristiques qui m’attirent, sur ce genre de produit, avec 2 Go de RAM et un espace de stockage de 16 Go, c’est pour l’instant très confortable pour l’utiliser pleinement, c’est-à-dire pour un utilisateur lambda, 20 % des options du smartphone, je ne parle pas des Geeks !

Ensuite, un lecteur de carte micro SD compatible jusqu’à 128 Go, ce n’est pas mal, sans oublié un appareil photo dorsal de 13 Mpx avec une focale de 2.0 et deux Flash LED.

Le +, avec une surcouche ASUS, avec son interface conviviale ZenUI. Une touche pratique à l’arrière.

 

 

Caractéristiques.

  • Système d´exploitation Android 6.0
  • Processeur 4 cœurs à 1.2 GHz, Qualcomm® 64-bit Snapdragon™ 410
  • Processeur graphique intégré au processeur principal avec l’Adreno 306
  • Écran de  5,5 pouces en HD (1280 x 720) IPS
    Luminosité de 500nits
    Blue Light Filter pour Eye Care
  • RAM de 2 Go LPDDR3
  • Stockage interne de 16 Go en eMCP
  • Lecteur micro SD, compatible jusqu’à 128 Go
  • ASUS WebStorage : 5 Go gratuits à vie (À vérifier, si cette option est toujours disponible !)
  • Batterie de 3000mAh Lithium (non amovible)
    Autonomie : (Données constructeur)
    Temps de veille : Jusqu’à 480 heures
    Conversations : Jusqu’à 16 heures
    Lecture vidéo (HD) : Jusqu’à 9 heures
    Navigation web (Wi-Fi) : Jusqu’à 13 heures
  • Un micro interne avec la technologie ASUS NoiseZero Talk
  • Radio FM
  • Wi-Fi 802.11n, Wi-Fi direct
  • Bluetooth V 4.0
  • GPS/A-GPS/GLONASS/BDSS
  • Carte dual SIM
    SIM 1: 2G/3G/4G SIM Card
    SIM 2: 2G/3G/4G SIM Card
    Dual SIM Dual Standby
  • Les normes réseaux
    TD-LTE/WCDMA/FDD-LTE
    DC-HSPA+ : UL 5.76 / DL 42 Mbps
    LTE Cat4 : UL 50 / DL 150 Mbps
    3G WCDMA, Band: 1/2/5/8
    4G FDD, Band: 1/2/3/5/7/8/20

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  • Capteurs
    Accéléromètre
    Boussole
    Capteur de proximité
    Capteur à effet Hall
    Capteur de luminosité ambiante

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  • Caméra frontale de 5 Mpx, ouverture f/2.0 et autofocus

Modes caméra PixelMaster :

Mode HDR
Mode Éclairage faible
Mode manuel (pour les paramètres détaillés comme les appareils photo réflexe)
Mode retouche d’image en temps réel
Mode Nuit
Mode Effet
  • Caméra dorsale de 13Mpx, ouverture f/2.0 et autofocus
    Dual-LED real tone flash
    Modes caméra PixelMaster :
    Mode HDR
    Mode Éclairage faible
    Mode manuel (pour les paramètres détaillés comme les appareils photo réflexe)
    Mode retouche d’image en temps réel
    Mode Nuit
    Mode Effet
    Mode Selfie panorama
  • Interface ASUS ZenUI 3.0
  • DAS de 0.386 W/kg  (À vérifier, sur lors de l’achat)
  • Accessoires fournis
    Chargeur
    Kit piéton
  • Poids 168 g

 

Il est disponible en France, à partir de 149,99 €, sur le papier et sans l’avoir testé, il possède des caractéristiques alléchantes, n’est-ce pas !

 

Tablette et clavier KLIPAD 7588, 8,9″, 4 cœurs et 16 Go de stockage, pour moins de 90€.

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Une tablette sous une marque exotique, mais avec un écran de presque 9″ (dalle TFT basique), un processeur 4 cœurs à 1.5 GHz, 1 Go de RAM de base, mais 16 Go d’espace de stockage, et je rajoute son clavier docking, et un casque audio confortable.

Le – avec un écran de faible résolution en technologie TFT et caméra arrière de 2 Mpx.

L’ensemble, pour un prix de 79,91 €.

Qu’en penser ?

C’est à vous de juger !

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Caractéristiques.

Écran TFT de 8,95″ avec une résolution de 1024 x 600 WSVGA,

Processeur A33 Allwinner à 1,5 GHz

Mémoire vive (RAM) de 1 Go

Mémoire interne 16 de 16 Go

Batterie de 4000 mAh

Un port micro USB

Une sortie audio jack 3.5 mm

Wi-Fi

Bluetooth

Lecteur micro SD compatible jusqu’à 32 Go maxi

Caméra frontale de 0,3 Mpx

Caméra arrière de 2 Mpx

Android 5.1

Google Play

Dans le pack, vous avez :

-Une tablette KLIPAD 7589

-Une pochette clavier

-Un casque audio

-Chargeur et câble USB ? (À vérifier, lors de l’achat)

Poids net 600 g

 

C’est pas mal !

THOMSON- NEO14-32WC, ultra portable basique en 14″, pour un petit budget à 149,99€.

Petit ordinateur portable basique, mais avec son écran de 14″.

C’est son principal attrait, avec un écran de 14″ et une définition HD de 1366×768 !

 

 

Car, au niveau des caractéristiques, c’est comme je l’indique plus haut, c’est vraiment du basique.

2 Go de RAM et 32 Go d’espace de stockage, c’est léger, mais acceptable. J’aurais préféré 4 Go de RAM et un minimum de 64 Go de stockage.

Pour le reste, c’est à vous de voir, mais pour une utilisation nomade, c’est pratique avec son écran de 14″. C’est vrai, il n’est pas tactile, mais il en faut pour toutes les bourses et tous les goûts.

Merci Philippe, de tablet-user.fr pour les deux photos ci-dessous.

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Pour 149,99 € vous avez :

En premier, c’est un produit THOMSON.

Type de processeur : Intel Atom CherryTrail Z8350, 4 cœurs (1,44 GHz normal à  1,92 GHz maxi, en mode rafale)

Écran HD de 14″ avec une résolution maximale de 1366 x 768

Lecteur micro SD, compatible 32 Go maxi

Chipset graphique intégré au processeur principal : “Intel® HD Graphics”

RAM : 2 Go

Espace de stockage : 32 Go

Réseau sans fil : Wi-Fi IEEE 802.11bgn

Bluetooth : 4.0

Type de clavier : Clavier AZERTY

Webcam : définition ?

Type de batterie : Lithium-ion

Nombre de port USB 2.0 : 1

Nombre de port USB 3.0 : 1

Sortie HDMI : 1 mini HDMI  (à vérifier selon modèle)

Port microphone

Une sortie jack

Sous Windows 10

Haut-parleurs intégrés

Accessoires fournis : (adaptateur secteur et une doc)

Poids (kg) : 1.5

Adaptateur OTG micro USB vers USB, en version mini, ça fonctionne !

Pour moins de 50 cents d’€, vous pouvez trouver ceci :

C’est un adaptateur micro USB vers USB, avec fonction OTG, dans une version vraiment mini, il est donc peu encombrant.

Vous pouvez choisir votre couleur, lors de la commande.

Testé sur mes smartphones et tablettes, qui possèdent une sortie OTG, résultat, ça fonctionne parfaitement.

Dans mon cas, j’ai trouvé plus simple de les commander directement en Chine.

 

L’envoi a été rapide, ce qui n’est pas le cas pour d’autres produits !

Un gadget fonctionnel, qui remplace avantageusement mes adaptateurs, micro USB/USB OTG en version câble.

Petit rappel, pour ceux qui ne suivent pas.

La fonction OTG de cet adaptateur, permet d’utiliser via un port micro USB OTG d’un smartphone/tablette sous Android/Windows (Il faut obligatoirement cette fonction OTG sur la sortie micro USB, sinon cela ne fonctionne pas), un clavier ou une manette de jeu …

 

C’est parfait !

 

Votre smartphone en coach sportif, c’est plutôt pratique !

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Il y a une fonction de plus en plus utilisée sur le smartphone, c’est de l’utiliser en coach sportif.

Les programmes d’entraînement ont bien évolué et sont plutôt bien élaborés.

Je vous avais déjà parlé du suivi de parcours, avec cet article : Nike+ Running couplé à Google Fit, avec ou sans montre connectée, ça fonctionne !

Mon utilisation actuelle se cantonne à Google Fit, qui est largement suffisant pour suivre un parcours, sur une carte, avec des données, calories/nombre de pas/distance parcourue/la vitesse moyenne par km, et pour finir le temps total du parcours.

Dans l’exemple ci-dessous, c’est la course à pied, mais d’autres options sont disponibles.

 

Pour avoir un coach sportif sur votre smartphone, rien de plus simple, car il suffit de sélectionner la chaîne YouTube, qui vous intéresse, ou bien un site web.

Il est aussi possible, de visionner cela directement sur votre TV, si vous possédez une Box TV sous Android ou Windows.

Un exemple :

Via votre smartphone/TV connectée et votre compte Nike+, c’est APPLICATION NIKE+ TRAINING CLUB.

http://www.nike.com/fr/fr_fr/c/nike-plus/training-app

Sinon, des vidéos et des programmes d’entraînement, sur des sites et encore mieux sur YouTube…

 

Il suffit de chercher pour trouver le décor et le coach qui vous sied le mieux, pour débuter votre remise en forme.

 

Vous pouvez suivre les exercices proposés, directement sur votre smartphone où depuis votre TV connectée, et cela, sans sortir de chez vous.

Moi, je préfère mon cross en extérieur, mais les échauffements peuvent être faits, avant de commencer votre parcours.

 

Le sport, c’est bon pour la santé !

Bon, pour les plus paresseux, pratiquer une activité sportive, même la marche à pied, c’est bon pour la santé !

 

 

 

 

 

Pour garder Windows 10 rapide et réactif, un conseil, trouver et utiliser la version sans installateur des logiciels !

Astuce 29 

C’est quoi cette histoire, de logiciel sans installateur ?

C’est très simple, vous avez l’habitude d’utiliser des logiciels qui s’installent sous Windows, car c’est pratique, pas souvent rapide, mais c’est le début du bazar !

Pourquoi ?

Parce que le programme que vous venez d’installer, s’est permis comme un grand, de copier ses fichiers un peu partout sous Windows. Et bien sûr, à force d’installer\désinstaller, Windows grossi considérablement. Sans oublier que, la base de registre fait de même et prend l’apparence d’un énorme gruyère !

Oui, je sais… ce n’est pas l’heure de manger !

J’en arrive donc, à ma solution, qui est simplisme, car la seule chose à faire est de chercher et de trouver les versions sans installateurs ou les versions Bin des logiciels.

 

C’est cool, n’est-ce pas !

Des exemples ??? Oui, bien sûr !

 

PhotoFiltre7, très bon logiciel qui existe en version sans installation. Il suffit de le décompresser dans son répertoire, de créer une icône, sur le bureau, et ça fonctionne.

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Thunderbird dans sa version portable. (logiciel puissant pour regrouper toute sa messagerie)

La télévision par internet (TNT HD) sur votre PC, avec Captvty, dans une version portable sans installation.

 

 

Et bien plus encore !

Il suffit, avant d’installer un logiciel de bien regarder s’il n’existe pas une version sans installation. C’est facile et cela allégera considérablement votre Windows, pour les mois et même les années à venir.

De plus, pour ceux qui possèdent des tablettes Windows avec 16 ou 32 Go d’espace de stockage, vous me direz quoi ?

Un grand merci, bien sûr !

 

anime (36)

 

NanoPi M3, sous Debian, mes tests, partie 2.

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C’est la deuxième partie sur le NanoPi M3, avec en test la distribution Debian. Dans ce tutoriel, je vais tester cette distribution, en commençant par vérifier la vitesse de démarrage avec une carte micro SDHC en catégorie 10. Le résultat, c’est ? Vous verrez cela, plus bas, en lisant le tutoriel.

La première partie, sur la préparation à l’installation de la distribution Debian sur le NanoPi M3, c’est ici : NanoPi M3, sous Debian, préparation et premier démarrage, partie 1.

Bonne lecture…

 

— Plan du tutoriel —

– Mes tests sous Debian.

– Le temps de démarrage.

– Comparaison du temps de démarrage, sur le pcDuino8 Uno, Cubieboard4 et Banana Pi M3.

– Allumer (démarrer le NanoPi M3).

– Éteindre le NanoPi, sous Debian.

– Comment trouver des informations, sur le NanoPi M3 ?

– Configuration.

– Mot de passe root, sous Debian.

– MAJ de Debian.

– Les dépôts, pour la distribution Debian.

– Après les MAJ, du nouveau sous Debian !

– Clavier FR/US.

– Changer la langue.

– Changer la date et heure.

– Changer de fuseau horaire (UTC).

– Le port RJ45.

– La configuration du Wi-Fi.

– Amélioration de l’état et du visuel, pour le réseau et le Wi-Fi.

– Le Bluetooth.

– Le navigateur internet (Iceweasel/Firefox).

– Youtube et l’accélération matérielle sur (Iceweasel/Firefox).

– Audio.

– Vidéo.

– Les fichiers.

– Espace libre, sur micro SD de 16Go.

 

– Que penser du NanoPi M3, sous Debian.

 

— Début du tutoriel —

 

 

– Mes tests sous Debian.

Pour commencer, Debian démarre rapidement. La distribution est livrée avec le strict minimum. Mais bon, cela me laisse de la place pour installer ce que je veux !

– Le temps de démarrage.

Démarrage entre 30 à 34 secondes avec la distribution Debian et une carte micro SDHC en catégorie 10. J’ai même eu un résultat inférieur à 30 secondes avant la première connexion réseau.

C’est plutôt moyen ! Mais, il y a plus long avec les autres nano-ordinateurs de même catégorie. (Plus d’informations ci-dessous)

Si vous avez branché le câble réseau et que vous avez été sur le net, le temps de démarrage se rallonge considérablement, surtout si vous débranchez le câble réseau. Plus d’infos, dans la section – Le port RJ45.

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– Comparaison du temps de démarrage, sur le pcDuino8 Uno, Cubieboard4 et Banana Pi M3.

(tous trois en 8 cœurs, et les tests sont effectués, sur micro SD de 8 ou 16 Go en catégorie 10)

Si je compare au pcDuino8 Uno avec un démarrage avec une carte micro SD de 8 Go en catégorie 10 = entre 13 et 17 secondes.

Avec le Cubieboard4, avec Lubuntu Linaro ver 1.0, il démarre en 47 secondes sur une micro SD de catégorie 10 en 8 Go.

Enfin pour finir, je compare avec le Banana Pi M3, cela donne, avec la distribution Ubuntu Mate depuis une micro SD de 8 Go en catégorie 10, un résultat qui tourne autour de 1 minute et 12 secondes à plus de 1 minute 30 secondes.

 

– Allumer (démarrer le NanoPi M3).

Pour démarrer le NanoPi M3, il existe deux méthodes.

-La première, lors du branchement sur le secteur via Adaptateur 5V en 2A ou plus, le nano-ordinateur démarre automatiquement.

-Seconde méthode, si vous avez éteint le NanoPi M3, vous pouvez le rallumer en débranchant et rebranchant la prise micro USB, ou simplement en appuyant sur le bouton POWER ou PWR sur le NanoPi M3 à gauche du Jack audio, en laissent le doigt dessus plus de 2 secondes.

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– Éteindre le NanoPi, sous Debian.

Pour éteindre le NanoPi M3, vous devez cliquer sur le menu, ensuite Logout et enfin choisir une des options qui vous intéressent. Moi, je choisis Shutdown, ou sinon pour redémarrer le NanoPi M3, je clique sur Reboot.

Si le NanoPi est figé, vous pouvez appuyer plus de 2 secondes sur le bouton POWER ou PWR, sur le NanoPi M3 à gauche du Jack audio.

– Comment trouver des informations, sur le NanoPi M3 ?

Un site incontournable pour trouver des informations sur le NanoPi M3, concernant l’installation la configuration; et plus, c’est ici : http://wiki.friendlyarm.com/wiki/index.php/NanoPi_M3

– Configuration.

– Mot de passe root, sous Debian.

Pour lancer un programme qui a besoin des droits root, il suffit de taper : fa

Mais attention, sur un clavier AZERTY configuré en Qwerty, il faut taper : fq

C’est pourquoi, il faut configurer le claver en FR, car actuellement, il est en US.

– MAJ de Debian.

Pour mettre à jour, la distribution Debian sur le NanoPi M3, vous devez ouvrir une console en root. Pour cela, il faut cliquer dans le menu, sur System Tools, ensuite sur Root Terminal.

Maintenant, il suffit de taper :

apt update

Valider.

Ensuite, il faut taper :

apt upgrade

Valider.

Attention, c’est long !

Redémarrage obligatoire.

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– Les dépôts, pour la distribution Debian.

Ne pas modifier.

– Après les MAJ, du nouveau sous Debian !

Constat après les MAJ via Update et Upgrade, apparition de l’installation de Firefox ESR et Iceweasel->Firefox ESR.

C’est cool, surtout que Firefox plante moins, si je le compare à Iceweasel.

Ajout de GrafX2.

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– Clavier FR/US.

Méthode 1.

Pour améliorer mon utilisation, je vais passer le clavier en français.

J’ai commencé par faire une modification dans un terminal Root Terminal, avec la commande :

sudo dpkg-reconfigure keyboard-configuration

Valider.

Le programme de configuration du clavier, démarre.

Ensuite, n’ayant que des claviers Anglais, il suffit de choisir Other, et enfin France.

Valider. Ensuite, suivre les étapes pour valider un clavier en FR.

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Redémarrage du service, en tapant :

sudo service keyboard-setup restart

Valider.

Mais pour moi, cela ne fonctionne pas. Je ne sais pas, si  cette phase, est essentielle pour poursuivre avec ma seconde méthode.

Je passe à ma seconde méthode, plus visuelle et simplissime à effectuer, c’est donc “plus mieux !

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Méthode 2. (Ça fonctionne !)

Cliquer en bas à droite, bouton droit de votre souris, et choisir Panel Settings ou Add/Remove Panel Items.

Cliquer sur l’onglet nommé, Panel Applets et ensuite, cliquer sur le + Add et enfin choisir Keyboard Layout Handler.

Vous êtes maintenant de retour, dans la fenêtre Panel Applets. Vous devez sélectionner dans la liste qui s’affiche,  Keyboard Layout Handler. Ensuite, cliquer deux fois dessus pour le sélectionner et l’ouvrir.

Il ne reste plus qu’à ajouter et configurer le clavier en FR, car il n’est pas encore présent. Suivez les indications comme sur les images ci-dessous, pour finaliser positivement cette procédure.

Cliquer deux fois sur Keyboard Layout Handler, pour le sélectionner et l’ouvrir.

En visuel, vous n’avez pour l’instant que le drapeau US, mais vous allez voir que pour ajouter le FR, c’est simple, mais il faut suivre les étapes successivement, sinon, c’est l’embrouille !

Décocher Keep system layouts.

Maintenant, vous pouvez cliquer sur + Add.

Une fenêtre s’ouvre et vous pouvez y chercher et sélectionner votre clavier FR, avec le drapeau.

Valider, ensuite faire remonte le drapeau fr vers le haut en cliquant sur la flèche qui monte et Up. C’est fait, vous devez cocher Keep System layouts et Remember laout for each window.

Si vous voulez pouvoir choisir le clavier US, ou bien FR depuis le bureau, je vous conseille de décocher Keep System layouts.

Enfin, vous pouvez finaliser cette procédure, en changeant la taille de l’icône, ce qui à pour effet d’actualiser la fenêtre.

Le redémarrage du NanoPi est nécessaire, pour finaliser le clavier en fr et pour pouvoir choisir le clavier US/FR en cliquant simplement, sur l’icône en bas à droite.

Maintenant, retour sur Keyboard Laout Handler, décocher Keep system layouts, cliquer sur l’icône drapeau FR, et sur Panel Ico, Size sur 1, vous devriez voir apparaitre dans Show Layout As, le drapeau FR.

C’est cool, non !

Maintenant, il suffit de cliquer en bas à droite sur l’icône drapeau FR ou us, pour passer d’un clavier à l’autre. Redémarrer votre nano, et vous constaterez que les options sont toujours valides.

Ex :

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– Changer la langue.

Maintenant que le clavier est en français, je vais faire de même pour les menus, si c’est possible.

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Bon, pour passer les menus en français, il faut …

Dans le terminal Root Terminal. Taper :

env | grep LANG

Valider. Ce qui m’indique, que c’est la langue US qui est installée.

Je tape :

export LANG=fr_FR.UTF-8

Valider.

Comment j’ai trouvé cette ligne, ci-dessus ???? C’est une simple déduction, mais ça fonctionne !

Ce n’est pas fini.

Maintenant, taper :

dpkg-reconfigure locales

Valider.

Un message d’erreur s’affiche, mais le programme de configuration démarre dans le terminal, c’est Package configuration.

Descendre sur [.]  fr_FR.UTF-8 UTF-8

Valider, en appuyant sur la barre d’espace, ensuite sur Enter.

Sélectionner fr_FR.UTF-8, flèche de droite pour déplacer le curseur sur <ok>

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Valider.

C’est fait.

Redémarrer le NanoPi M3.

Je pensais que ce n’était pas fini, mais le système Debian et les menus, sont passés à la langue française. Mais avant de changer la langue des applications dans l’environnement KDE, je fais une vérification…

Constat, toutes les applications installées, sont en fr, il n’est donc, pas nécessaire, de rajouter ou modifier la config pour l’instant.

 

C’est parfait.

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– Changer la date et heure.

Pour changer la date, rien de plus simple, car il suffit de cliquer en bas sur l’heure bouton gauche de la souris pour voir apparaitre la fenêtre du calendrier. Vérification de la date, c’est OK.

Je passe au changement de l’heure, c’est moins simple.

Dans un terminal, le Root Terminal, qui vient de changer en Terminal Administrateur, je tape directement :

date

Valider.

Le résultat, j’ai l’information sur l’UTC+0800 (cela donne UTC + 8 heures), la date et l’heure.

Pour modifier cela, il faut, utiliser la commande date, dans le format suivant :

date MMDDHHmmAA

Ce qui donne dans mon cas pour le jour du changement, je suis le 5 février 2017, à 12h20.

Je tape donc :

date 0205122017

Valider, c’est fait.

Vérification, c’est simple la date et l’heure s’affiche après la modification.

Attendre plusieurs minutes…

Les changements apparaissent en bas à droite de l’écran, l’heure et la date s’actualisent.

Ça fonctionne !

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– Changer de fuseau horaire (UTC).

Il reste à changer l’UTC.

Je tape :

tzconfig

Valider. Le système m’informe qu’il faut que j’utilise cette commande :

dpkg-reconfigure tzdata

Valider.

Vous devez valider une seconde fois, en cliquant sur Enter.

 

Maintenant dans la liste je cherche 8 Europe. Je tape :

8

Valider.

Ensuite, je sélectionne Paris, avec le numéro 37, je tape :

37

Valider.

Mais pas comme moi sur l’image ci-dessous, mais après avoir validé une fois avec la touche Enter,  je tape 37.

C’est fait !

Je tape date pour vérifier cela, dans un terminal :

date

Valider.

C’est fait ! J’ai (UTC+0100), ce qui donne UTC + 1H.

Redémarrage pour vérifier que rien n’a pas changé.

C’est parfait !

Important !

Commencer par modifier l’UTC avant de faire la modification pour la date, sinon, comme dans mon cas, vous devrez refaire la procédure de la date, car le changement de zone UTC provoque un changement de l’heure.

Après cette modification, voici le résultat.

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– Le port RJ45.

L’accès au Web est opérationnel, dès le branchement du câble RJ45 entre votre box ADSL et le port RJ45 du NanoPi M3.

Comme je l’indique au début du tutoriel, si vous avez été sur le net en passant par le câble réseau et le port RJ45, et que vous décidez de redémarrer votre nano-ordinateur, le temps de démarrage s’allonge considérablement, car Debian cherche une connexion réseau….

Le temps de démarrage, dans le cas d’une déconnexion du port réseau RJ45 est de plus de 1 minute 24 secondes. Il y a certainement une option pour diminuer le délai de recherche de connexion réseau.

– La configuration du Wi-Fi.

La configuration du Wi-Fi est assez simple, ouf !

Ce qui n’est pas le cas du Bluetooth, voir mon constat plus bas…

Pour configurer le Wi-Fi, en 4 étapes, et c’est parfait.

1-Cliquer sur l’icône, comme sur l’image ci-dessous, sur votre bureau.

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2-Sélectionner le nom de votre box ADSL, dans la liste qui s’affiche.

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3-Sur l’image ci-dessous, après avoir sélectionné le nom de ma box ADSL, il suffit de modifier Encryption, dans mon cas,  c’est TKIP, et d’indiquer la clé Wi-Fi dans la zone PSK.

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C’est fait !

4-Vérification de la connexion Wi-Fi.

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Je vous avais bien indiqué, ci-dessus une procédure en 4 étapes, avec la vérification de votre connexion Wi-Fi, sans l’accès réseau RJ45.

C’est facile !

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– Amélioration de l’état et du visuel, pour le réseau et le Wi-Fi.

Pour améliorer cela, j’ajoute une icône en bas à droite, une pour le réseau RJ45, et l’autre pour le Wi-Fi.

Pour cela, je tape dans un terminal:

ifconfig

Valider.

Vous avez ainsi, toutes les indications de cartes et contrôleurs réseaux actifs.

Je clique en bas dans la zone des icônes avec bouton droit de la souris. Je sélectionne Préférences du tableau de bord, et j’ajoute, le premier Moniteur de l’état du réseau, pour le port RJ45, et une seconde fois pour Moniteur de l’état du réseau pour le Wi-Fi, que je vais modifier.

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J’attribue à ma carte Wi-Fi, un des deux Moniteur de l’état du réseau, en Wlan0, dans mon cas.

J’ai ainsi en bas à droite, une icône pour le réseau RJ45, et une autre icône pour le Wi-Fi.

C’est cool, non !

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– Le Bluetooth.

Pour le Bluetooth, ce n’est vraiment pas terrible !

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Impossible de connecter un clavier Bluetooth 3.0.

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Je passe !

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– Le navigateur internet (Iceweasel/Firefox).

Le navigateur web par défaut, est réactif et affiche les pages web rapidement.

Après la mise à jour de la distribution Debian, le nouveau navigateur, Firefox, fonctionne bien, lui aussi. Seul problème , il arrive que le navigateur plante, dans le cas de Iceweasel et la même chose pour Firefox.

Message d’erreur sur Iceweasel.

Firefox.

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– Youtube et l’accélération matérielle sur (Iceweasel/Firefox).

C’est presque fluide, mais cela pourrait être mieux.

YouTube en plein écran via Firefox, ce n’est pas mal.

 

– Audio.

Le son est disponible sur le téléviseur via la prise HDMI, ou sinon via le connecteur Jack audio. Le son est de bonne qualité !

Le son est fluide via le navigateur.

Les fichiers audio, fonctionnent parfaitement, avec le lecteur SMPlayer, et avec VLC. Les fichiers Wav, via VLC. (procédure d’installation de VLC, dans la partie – Vidéo, ci-dessous.)

– Vidéo.

Pour la vidéo via le navigateur Web, c’est presque parfait. Des latences persistent lors de la lecture d’une vidéo, mais c’est léger ! Voir plus d’informations sur le sujet, dans la partie – Youtube et l’accélération matérielle sur (Iceweasel/Firefox).

Pour la vidéo depuis un lecteur, c’est un autre problème. Premier essai, l’image, ne s’affiche pas sous SMPlayer, j’ai donc installé d’autres logiciels et plus précisément VLC.

Dans un terminal, je tape :

sudo apt install vlc browser-plugin-vlc

Valider.

Après cette installation, le test est identique, j’en profite pour installer en plus Alsamixer, depuis la logithèque…

Mais après des modifications, le résultat est identique.

Je fouille, je corrige des options dans les logiciels SMPlayer et VLC, le résultat, ça fonctionne !

Pour cela, il faut :

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Résultat.

C’est fluide pour SMPlayer, parfait !

Dans le cas de VLC.

Résultat…

Ça fonctionne, mais l’image est légèrement saccadée.

– Les fichiers.

Ce n’est pas cool ! Impossible de lire ma carte SD ou ma clé USB avec mes fichiers pour la vidéo et l’audio.

Les droits d’utilisateurs sont mal configurés.

Je n’ai pas le temps de chercher et de modifier cela ! Je passe à ma bidouille.

Pour passer outre ce problème, il faut ouvrir le terminal administrateur. Ensuite taper :

sudo pcmanfm

Valider.

Pour retrouver ma clé USB, il suffit de cliquer sur la flèche qui monte deux fois, pour arriver à fa, et ensuite à tous les répertoires, avec celui qui m’intéresse, en cliquant sur media.

Lorsque vous êtes dans media avec le double clic, vous cliquer sur fa. Enfin sur MICROORDI, dans mon cas c’est ma  clé USB.

Je copie mes fichiers sur le bureau, mais attention, dans le bon bureau, car le Home de l’administrateur, n’est pas celui de l’utilisateur.

Après quelques manipulations, c’est OK.

Je quitte le programme et le terminal en administrateur.

J’ai enfin accès à mes fichiers, pour mes tests !

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– Espace libre, sur micro SD de 16Go.

C’est cool, j’ai 12,5GB de libre sur 14,4GB avec ma carte micro SDHC de 16Go.

Le partitionnement automatique est viable.

 

– Que penser du NanoPi M3, sous Debian.

Sous Debian, globalement ce n’est pas mal, mais il faut mettre la main dans le système, pour améliorer, optimiser et ajouter ce qu’il manque.

Maintenant, je puis donner mon avis, sur plusieurs nano-ordinateurs en 8 cœurs. Le résultat est généralement navrant et décevant.  Je vous conseille, de vous tourner vers des nano-ordinateurs, en 4 cœurs et de tenir compte des distributions finalisées et disponibles.

Car, ma conclusion est moyenne, c’est toujours le problème avec ce genre de matériel, avec comme seul constat,  “la promesse ne tient jamais la route”, les produits ne sont pas fiables, ni stables ! Comme c’est souvent indiqué sur les sites “ Version de démonstration“, “Échantillon“, c’est donc bien des versions pour les bidouilleurs, et le NanoPi M3, est très pauvre en DEV !

Même, si j’aime bien le NanoPi M3 (surtout pas dans la version avec une distribution Android, suite au crash de 2 de mes cartes micro SD de 8Go), il manque énormément d’informations, de distributions et de tutoriels finalisés, pour permettre de travailler et développer des projets.

Ma conclusion est brouillonne, comme le NanoPi M3 !

À suivre !

 

 

 

NanoPi M3, sous Debian, préparation et premier démarrage, partie 1.

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Dans ce tutoriel, je vais vous décrire la procédure pour préparer le NanoPi M3, en vue d’effectuer son premier démarrage sous Debian, et cela, sans encombre.

Je croise les doigts !

Rassurez-vous, ce n’est pas la même galère qu’avec la distribution Android. Oui, celle qui m’a causé beaucoup de problèmes, ici la seule difficulté réside dans le choix de la micro SD.

Je commence par vous présenter le plan de ce tutoriel. Le début ressemble à celui de l’installation de la distribution Android.

 

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—Plan du tutoriel—

– Préparation avant de démarrer.

– Le matériel nécessaire pour bien débuter.

– Bien choisir sa micro SD.

– Comment préparer sa carte micro SD, pour accueillir une distribution Debian.

– Installer l’image de Debian, sur une micro SD.

– Les branchements.

– Premier démarrage sous Debian.

– Mon constat, sur cette première partie sous Debian.

—Début du tutoriel—

Attention !

Je ne suis, en aucun cas, responsable des dommages occasionnés suite à une mauvaise manipulation. Je décline toute responsabilité sur l’utilisation que vous faites de mes tutoriels.

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– Préparation avant de démarrer.

– Le matériel nécessaire pour bien débuter.

C’est cool, et ça commence bien, car, sous Linux dans sa déclinaison Debian, tout est possible. Vous pouvez brancher le NanoPi M3 sur un téléviseur HDMI, ou bien un moniteur HDMI ou un moniteur VGA, avec convertisseur HDMI/VGA.

Matériel nécessaire, pour bien démarrer avec le NanoPi M3.

-Le NanoPi M3.

-Un téléviseur HDMI/moniteur HDMI/Moniteur VGA+Convertisseur HDMI/VGA.

-Une micro SD de 8 Go minimum, dans mon cas j’utilise une micro SDHC de 16Go en catégorie 10  et de marque Transcend, car elle fonctionne parfaitement, mais avec un taux de transfert de seulement 20MB/s.

-Un câble micro USB/USB pour l’alimentation.

-Écran HDMI ou moniteur VGA.

-Un câble HDMI/HDMI pour le branchement sur un téléviseur HDMI ou moniteur HDMI.

Ou

– Un convertisseur HDMI/VGA, dans le cas d’un moniteur VGA.

-Un adaptateur secteur 5V en 2A minimum (dans mon exemple, j’utilise un adaptateur 5V en 2.4 A.

-Une souris sans fil ou USB filaire.

-Un clavier USB sans fil ou filaire.

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– Bien choisir sa micro SD.

J’en viens au plus pénible, c’est de trouver une carte micro SD, qui fonctionne avec une distribution Debian sur le NanoPi M3.

J’ai testé une SanDisk de 8Go, catégorie 4, mais pas de démarrage. Une Verbatim de 16Go catégorie 10 à 45MB/s, mais elle ne fonctionne pas…

J’ai enfin réussi avec une micro SDHC de 16Go en catégorie 10 et de marque Transcend, avec un taux de transfert de seulement 20MB/s.

Ouf !

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– Comment préparer sa carte micro SD, pour accueillir une distribution Debian.

Insérer votre carte micro SD + adaptateur SD ou Adaptateur USB/micro SD sur votre ordinateur. Elle doit être d’une capacité égale ou supérieure à 8Go.

Dans mon cas, je vais utiliser une carte micro SD de 16Go en catégorie 10 pour le test.

Formater la carte micro SD :

Télécharger l’outil de formatage SDFormatter depuis : https://www.sdcard.org/downloads/formatter_4/eula_windows/

“ C’est un super programme, car il permet en activant l’option On, de formater votre carte SD et les partitions cachées ou partitions Linux etc.”

Décompresser et installer le programme SDFormatter.

Démarrer SDFormatter en cliquant sur son icône sur le bureau ou dans la liste de vos programmes.

Il faut toujours vérifier, que votre carte micro SD corresponde à celle que le logiciel détecte.

Cliquer sur Option et choisir ON.

Maintenant et seulement après avoir fait la vérification décrite ci-dessus, vous pouvez cliquer sur le bouton  FORMAT.

– Installer l’image de Debian, sur une micro SD.

Je télécharge l’image de la distribution Debian, depuis le lien ci-dessous :

https://www.mediafire.com/folder/gg764iwvfm0mf/S5P6818

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Je sélectionne cette image, c’est la plus récente, ici : http://www.mediafire.com/file/474bi9idwatu2o2/s5p6818-debian-sd4g-20170110.img.zip

Après téléchargement, je décompresse le fichier s5p6818-debian-sd4g-20170110.img.zip. Le résultat, vous aurez un fichier nommé, s5p6818-debian-sd4g-20170110.img, dans le répertoire qui a été précédemment créé.

Ce n’est pas fini.

Pour installer l’image de Debian sur la micro SD, je n’utilise pas SD-Flasher.exe, car il ne fonctionne pas chez moi.

J’installe donc, l’outil Win32DiskImager, dans la version la plus récente, sur mon PC, j’utilise la version 0.9.5.

La page du logiciel, c’est ici : https://sourceforge.net/projects/win32diskimager/files/Archive/

Pour le téléchargement, je vous conseille la version binaire, qui fonctionne sans installation, ici :

https://sourceforge.net/projects/win32diskimager/files/Archive/Win32DiskImager-0.9.5-binary.zip/download

Ensuite, après la finalisation du téléchargement, je le décompresse avec l’outil sous Windows, ou bien dans mon cas avec 7-Zip.

J’insère ma micro SD via un adaptateur SD ou un adaptateur USB/micro SD sur le PC.

Attention ! Toutes les données vont être effacées, et surtout veillez à bien choisir la bonne carte micro SD qui correspond à celle que vous venez d’insérer sur votre PC, pour suivre la suite de la procédure.

Je me déplace dans le répertoire Win32DiskImager-0.9.5-binary et je clique sur Win32DiskImager.exe pour démarrer le programme.

Après avoir cliqué sur Win32DiskImager.exe, le programme démarre.

Je sélectionne dans Device ma carte micro SD, si le programme ne l’a pas trouvé. Attention de bien sélectionner la micro SD qui va accueillir la distribution Debian.

Ensuite, je recherche l’image de Debian, pour l’installer sur la micro SD via le logiciel Win32 Disk Imager.

Vous devez le faire avec le fichier que vous avez téléchargé et décompressé précédemment, sous le nom, s5p6818-debian-sd4g-20170110.img.

Cliquer sur Write, et attendre la fin de la procédure.

C’est fait!

Je passe à la suite.

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– Les branchements.

En premier, veuillez installer le refroidisseur aluminium, avec son ventilateur intégré, en veillant à respecter la polarité lors du branchement du câble d’alimentation du ventilateur.

Vous pouvez brancher le NanoPi M3 à votre convenance, sur un Téléviseur HDMI ou moniteur HDMI via un câble HDMI/HDMI ou depuis un moniteur VGA avec un convertisseur HDMI/VGA.

C’est cool, non !

Ensuite via les ports USB, vous devez brancher une souris et un clavier.

Maintenant, insérer votre carte micro SD contenant la distribution Debian. Attention de bien l’insérer, dans le bon sens !

Le câble réseau de votre box ADSL via le port RJ45 et vous pouvez configurer le Wi-Fi par la suite.

C’est presque fini, il ne reste plus qu’à brancher l’alimentation de 5V en 2A avec son câble USB et à l’autre extrémité le micro USB directement sur le port micro USB du NanoPi M3. Dans mon cas, j’utilise un chargeur 4 ports, en 5V et 2,4A.

Attention… le NanoPi m3 Démarre.

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– Premier démarrage sous Debian.

Le premier écran.

 

Le suivant.

Pour l’instant, tout se passe bien.

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Super, je suis sous Debian.

Après cela, la première chose que je fais, c’est démarrer le navigateur Web pour voir si j’ai un accès.

Ça fonctionne !

Pour l’instant pas de surprise, Debian démarre rapidement au second redémarrage, c’est plutôt positif.

 

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– Mon constat, sur cette première partie sous Debian.

Premier point positif, c’est enfin possible d’installer une distribution sans bousiller une carte micro SD.

De plus, le NanoPi M3 fonctionne parfaitement via un téléviseur HDMI, un moniteur HDMI, et même un écran moniteur PC en VGA, en lui ajoutant un convertisseur HDMI/VGA. C’est très positif et enfin plaisant.

 

Prochainement.

La suite de ce tutoriel, c’est ici : NanoPi M3, sous Debian, mes tests, partie 2.

NanoPi M3, sous Android 5.1.1, mes tests, partie 2.

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Dans cette partie, je vais m’atteler à tester si c’est possible, cette distribution Android, et vous donner en conclusion si Android  5.1.1 actuel est viable ou pas, pour travailler ou créer des projets.

Et toujours, des astuces, dans mes tutoriels.

C’est parti !

Mais avant de poursuivre, je tiens à vous indiquer ceci.

 Je ne suis, en aucun cas, responsable des dommages occasionnés suite à une mauvaise manipulation. Je décline toute responsabilité sur l’utilisation que vous faites de mes tutoriels.

 

—Plan du tutoriel—

 

– Mes tests sur Android 5.1.1.

– Démarrage.

– Allumer (démarrer le NanoPi M3).

– Éteindre le NanoPi sous Android.

– Google Play.

– Aptoide pour remplacer Google Play sur le NanoPi M3.

– Navigation.

– Le port RJ45.

– Youtube et l’accélération matérielle.

– Audio.

– Vidéo.

– Les fichiers.

– Espace libre, sur micro SD de 8Go.

– Les “Benchmarks”.

– Comment sauver vos cartes micro SD, enfin presque !

– Ce que je pense du NanoPi M3, sous Android.

—Début du tutoriel—

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Mon premier tutoriel est ici : NanoPi M3, sous Android 5.1.1, préparation et premier démarrage, partie 1

Je passe à la suite, avec mes tests du NanoPi M3 sous Android 5.1.1. La version de l’image d’Android pour mes tests est s5p6818-android-sd4g-20170110.img.

Mais, car il y a un mais ! J’ai dû me résoudre, à poursuivre avec la version précédente, car cette distribution Android, en date du 20170110, m’a bousillé ma carte micro SD. Impossible de réinitialiser la distribution, et impossible de récupérer ma micro SD.

J’ai donc installé la version précédente à la fin du tutoriel ci-dessous, et je vais pouvoir vous donner mon impression entre les deux versions, mais cela, seulement à la fin du tutoriel.

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-Mes tests sur Android 5.1.1.

 

– Démarrage.

Je constate que le NanoPi M3 ne démarre que via un téléviseur connecté avec un câble HDMI/HDMI, et cela, directement sur un port HDMI de libre du téléviseur.

Le premier démarrage est plus long, je vous donne donc une indication pour le démarrage via une micro SD de 8Go en catégorie 4 et une autre en catégorie 10.

Attention le résultat est de ?

-Le temps de démarrage du NanoPi M3 est de 40 à 45 secondes avec une carte micro SD SanDisk 8 Go en catégorie 4.

Le temps de démarrage du NanoPi M3 est de 44 à 46 secondes, avec une carte TDK 8Go en catégorie 10, j’ai un résultat similaire avec celle qui est en catégorie 4.

Ce n’est pas terrible, pas de gain avec une catégorie 10 face à une catégorie 4.

Pour le résultat, c’est positif, si je le compare à d’autres nano-ordinateurs Octa Core (8 cœurs), car cela pouvait dépasser pour le démarrage à + d’une minute via une carte micro SD en catégorie 10 et un processeur 8 cœurs.

Le résultat n’est donc pas mal, même si je pense que le démarrage peut être boosté, en supprimant l’affichage des différentes phases …

Mon petit doigt m’a dit ! C’est encore un constat, mais le contrôleur du lecteur micro SD, qui est utilisé pour la conception du NanoPi M3, n’est pas très souple ! Pourquoi ? Est-ce dû à un composant médiocre ? Je parle du lecteur de carte micro SD ou de son contrôleur.

-Changer la langue.

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-Activer le réseau via le connecteur RJ45 et le menu pour le Réseau.

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-Activer le Wi-Fi, si vous préférez.

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-Changer la date et l’heure, pour changer de fuseau horaire.

C’est fait !

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– Allumer (démarrer le NanoPi M3).

Pour démarrer le NanoPi M3, il existe deux méthodes.

-La première, lors du branchement sur le secteur via Adaptateur 5V en 2A ou plus, le nano-ordinateur démarre automatiquement.

-Seconde méthode, si vous avez éteint le NanoPi M3, vous pouvez le rallumer en débranchant et rebranchant la prise micro USB, ou simplement en appuyant sur le bouton POWER ou PWR sur le NanoPi M3 à gauche du Jack audio, en laissent le doigt dessus plus de 2 secondes.

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– Éteindre le NanoPi sous Android.

Pour éteindre la NanoPi M3, vous devez appuyer plus de 2 secondes sur le bouton POWER ou PWR, qui est situé à gauche du Jack audio.

Sinon, vous pouvez aussi installer une application du genre Shutdown. Il suffit de le télécharger via Aptoide ou bien depuis Google Play. Nous avons Google Play sur le NanoPi M3, pourquoi ne pas l’utiliser ! (Attention, il faut peut-être un accès ROOT pour utiliser le programme)

Mais le résultat, c’est que Google Play n’est vraiment pas stable !

Dans mes diverses tentatives, mon NanoPi M3, plante et redémarre.

Mince alors… Et suite à cela, c’est le début de la galère, car, dès que vous plantez une fois la distribution Android, votre carte SD n’est plus récupérable,  pour l’instant. Je cherche une solution pour réinitialiser mes cartes SD qui sont plantées, mais cela se solde par un échec. Dans un prochain tutoriel, sur ce sujet, peut être des solutions, si j’arrive à récupérer mes cartes micro SD.

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– Google Play.

Comme je l’indique ci-dessus, ce n’est pas terrible, avec des messages d’erreurs et des plantages… comme pour Philippe avec son test du NanoPi M3.

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– Aptoide pour remplacer Google Play sur le NanoPi M3.

Aptoide est la solution pour palier à cela !

C’est simple pour l’installer, lancer le navigateur et taper dans le moteur de recherche “Aptoide”.

Cliquer sur https://www.aptoide.com et sur la page qui s’affiche cliquer sur Installer Aptoide en orange.

Après téléchargement, dérouler le menu du haut pour cliquer sur le fichier récemment téléchargé. Ensuite modifier les droits pour les applications externes, et enfin lancer l’installation.

C’est fait, vous pouvez cliquer sur l’icône Aptoide.

Mais je ne sais pas pourquoi, même avec Aptoide, dès que j’installe une application, j’ai un plantage et redémarrage du NanoPi M3.

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– Navigation.

Le navigateur web fonctionne bien, mais assez lent et peu réactif.

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– Le port RJ45.

Si j’active le port RJ45 et que le Wi-Fi est actif mais non connecté, pendant une consultation d’une page internet, le NanoPi M3 reboot sans prévenir, enfin plutôt plante, ensuite, il est obligatoire de débrancher l’alimentation pour redémarrer le nano.

En plus, tant que le câble réseau est branché, le NanoPi s’arrête brutalement, sans crier gare !

Est-ce la cause d’un manque d’énergie avec un adaptateur 5V en 2.4 A ? C’est ma question.

J’ai même constaté le problème, en dehors de ce cas de figure.

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– Youtube et l’accélération matérielle.

YouTube via le navigateur par défaut fonctionne parfaitement, mais de légères latences subsistent, mais c’est viable. L’accélération matérielle est donc bien active, même si le résultat, peut être meilleur !

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– Audio.

Les fichiers MP3 et WAV fonctionnent parfaitement via le logiciel par défaut sous Android, c’est Audio.

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– Vidéo.

Via le navigateur par défaut et YouTube, les vidéos ne sont pas mal ! Très légères latences, mais dans l’ensemble en choisissant les bonnes vidéos, ce n’est pas mal, et cela, même en plein écran.

L’accélération matérielle est fonctionnelle et active, mais pas à 100 %.

Directement depuis une clé USB, les fichiers MP4 fonctionnent parfaitement avec le lecteur par défaut NxPlayerBasedFilter ????

C’est quoi ce nom bidon !

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– Les fichiers.

Pas d’explorateur de fichiers, ce n’est pas normal !

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– Espace libre, sur micro SD de 8Go.

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– Les “Benchmarks”.

Eh bien, c’est …c’est… c’est impossible d’installer ou de finaliser correctement l’installation d’une application via Google Play et c’est la même chose pour Aptoide.

Dès que je lance une installation, le NanoPi reboot et c’est le début de la galère !

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– Comment sauver vos cartes micro SD, enfin presque !

Je vais ici, vous donnez un maximum d’informations pour tenter de récupérer, les cartes micro SD récalcitrantes, j’ai bien dit tenter…

Sur 4 cartes micro SD, non c’est faux, une de plus, maintenant cela fait 5 cartes micro SD de catégorie 4 et 10 en 8 Go et en 16 Go, avec 2 cartes bousillées.

Je vous montre mon cheminement pour tenter de palier à cela, pour celles qui sont récupérables.

Mince, c’est trop long et complexe…. Ce sera dans mon prochain tutoriel, ici, si je … : Comment tenter de sauver vos cartes micro SD récalcitrantes, j’ai bien dit tenter !

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-Ce que je pense du NanoPi M3, sous Android.

Cette dernière version d’Android pour le NanoPi M3, n’est pas encore bien finalisée. Plantage, redémarrage, écran figé sont au rendez-vous. Avec la version précédente c’est la même chose.

Zut alors !

Sans oublier que lorsque le NanoPi M3 plante, vous perdez vos applications et les icônes des programmes sur vos bureaux.

C’est moins cool, non !

La création de la carte micro SD pose problème aussi, car il arrive de ne pas pouvoir réinitialiser la micro SD, pour une réinstallation par exemple, et même remise à zéro usine, c’est impossible. Bonjour la galère pour formater correctement la micro SD par la suite. C’est le format de l’image d’Android qui pose problème, donc un conseil ne pas installer la version en date du 200170110 et même la précédente version, mais, de plutôt attendre la suivante en croisant les doigts !

Je réitère mon interrogation au sujet de …

Mon petit doigt m’a dit ! C’est encore un constat, mais le contrôleur du lecteur micro SD, qui est utilisé pour la conception du NanoPi M3, n’est pas très souple ! Pourquoi ? Est-ce dû à un composant médiocre ? Je parle du lecteur de carte micro SD ou de son contrôleur.

Pour finir, résultat concernant le matériel utilisé. J’ai 2 cartes micro SD sur 5, qui sont HS pour l’instant. Deux cartes micro SD SanDisk de 8Go en catégorie 4. Mais pas seulement, car, pendant mes manipulations, j’ai deux adaptateurs, un USB/SD+Adapt et un USB/micro SD qui ont rendu l’âme. Pendant l’utilisation des adaptateurs, je constate une surchauffe excessive du lecteur et des cartes micro SD, surtout pour les deux SanDisk qui sont HS.

Que faut-il en penser et conclure ?

Les nano-ordinateurs avec un processeur 8 cœurs, ne me réussissent pas !

(Ceux que j’ai testés : Cubieboard4, Pcduino8 Uno, Banana Pi M3 et enfin le NanoPi M3), je peux donc en conclure, que le résultat, n’est pas acceptable.

Prochainement, la suite de mes tutoriels sur le NanoPi M3, sous une distribution Linux Debian : NanoPi M3, sous Debian, préparation et premier démarrage, partie 1.

Espérons que…