castman.fr – La technologie, à la portée de tous ! Toujours d’actualité … Écologie et technologie en harmonie, est-ce encore de l’utopie ? Sur mon site, vous trouverez une mine d’informations, sur les produits high-tech en général. Vous trouverez aussi, des tutoriels, des astuces, mes coups de gueule et mes coups de cœur, sans oublier, mon espoir sur le thème “Je contribue, pour ma planète !“. Je n’ai pas la science infuse, mais c’est la science qui fuse.

Banana Pi – BPI-M2 Berry, à moins de 50 €.

Le Banana Pi BPI-M2 Berry.

Le Banana PI BPI-M2 fonctionne avec un processeur 4 cœurs, c’est l’ARM Cortex A7 Allwinner R40.

GPU Mali 400 MP2 avec support pour la vidéo ultra haute définition en 1080P.

Sur cette carte, vous avez le WIFI + le Bluetooth, une interface SATA, 1 Go de RAM en DDR3.

Cette carte fonctionne sous Android, Debian Linux, Ubuntu Linux, Raspbian etc…

Ce nano-ordinateur, n’intègre pas de mémoire de type eMMC permettant l’installation d’un système d’exploitation, il faut passer par une micro SD via le lecteur micro SD pour démarrer une distribution.

Le connecteur GPIO à 40 broches est compatible avec ceux du Raspberry Pi.

 

Des infos ici : http://www.banana-pi.org/m2ub.html

 

Vous pouvez le commander directement sur un site en France, cela évite les frais d’expédition exorbitant via AliExpress sur le site Sinovoip  (25 €).

Est-ce intentionnel ? De toute façon, c’est dissuasif !

Le site ici :

https://e.banana-pi.fr/cartes/725-banana-pi-bpi-m2-berry.html

 

Des infos.

BPI-M2 Berry GPIO.

Caractéristiques.

Processeur 4 cœurs ARM Cortex A7

Processeur graphique intégré au processeur principal, avec le Mali 400 MP2 en 2 cœurs à 500 MHz

RAM de 1 Go en DDR3 SDRAM en 32 bits, en partage avec le processeur graphique

Pas de mémoire interne eMMC

Prise en charge de l’interface SATA

Le lecteur micro SD compatible jusqu’à 64 Go

Connecteur d’interface caméra CSI (8-bit YUV422 CMOS sensor CSI, CCIR656 protocol for NTSC and PAL, 5MP camera, 1080p video @30Hz)

Connecteur d’affichage DSI (MIPI DSI for RAW LCD panels)

Port Ethernet 10/100/1000 Mbps (Realtek RTL8211E/D)

4 USB 2.0

1 port micro USB OTG

Vidéo jusqu’à 1080P

Port HDMI  en HDMI 1.4 1080P60

Audio via connecteur 3,5 et le port HDMI

WIFI en 802.11B/G/N (AP6212)

Bluetooth 4.0 (AP6212)

Un connecteur GPIO 40 pins (GPIO, UART, I2C bus, I2S bus, SPI bus, PWN, +3.3v, +5v, ground)

LED de fonctionnement et LED du connecteur RJ45

1 bouton Reset, 1 de démarrage Power et 1 bouton pour la fonction U-Boot

Fonctionne avec une alimentation en 5V et 2A via le connecteur micro USB

Debug UART connecteur 3 pins

Taille de 92mm x 60mm

45g

 

 

Banana Pi M1+, une version améliorée du M1.

Le Banana Pi M1+, c’est une version améliorée du Banana Pi, aussi nommé BPi-M1.

BPI-M1+002

Les images 3D ci-dessous, proviennent du site :  http://www.bananapi.com/index.php/component/content/article?layout=edit&id=78

 

 

BPI-M1+ face avant 1 :

 BPI-M1+ 3D 1

 

BPI-M1+ face avant 2 :

 BPI-M1+ 3D 2

BPI-M1+ face arrière :

BPI-M1+ 3D 4

Connecteur 40 pins :

GPIO BPI-M1+

 

Caractéristiques :

Processeur A20 ARM Cortex-A7 (Allwinner A20)2 cœurs à 1 GHz  

Processeur graphique intégré ARM Mali400MP2 compatible OpenGL ES 2.0/1.1. Supporte l’accélération matérielle

1GB de RAM en DDR3 (partage avec le processeur graphique)

Lecteur de carte micro SD

1 connecteur SATA 2.0

1 connecteur 5 volt pour alimenter un HDD 2.5″/SSD ???

Ethernet RJ45 Gigabit 10/100/1000 (Realtek RTL8211E/D)

Wifi intégré en 802.11 b/g/n (Module AP6181)

1 connecteur pour l’antenne Wi-Fi

1 connecteur pour batterie externe, au dos du BPI M1+, pour activer l’horloge interne (RTC)

Bluetooth en option

1 entrée CSI pour un module caméra 8 bit

1 micro intégré

1 sortie vidéo HDMI en 1920×1080 maxi (Pal/NTSC)

1 Sortie vidéo composite via le connecteur audio

1 sortie vidéo via le connecteur LVDS HDMI en version  1.4 (Type A – full)

1 sortie audio/composite 3.5 mm Jack et aussi la sortie audio via le connecteur HDMI  

1 port Micro USB pour l’alimentation de la carte Banana Pi (5V, 2A) ou via le connecteur 40 pins.

1 port micro USB (OTG)

2 ports USB 2.0  HOST

3 boutons intégrés : Power, Reset, clé Uboot 

1 connecteur de 40 pins (28 GPIO,UART, I2C, SPI, PWM, CAN, I2S, SPDIF, LRADC, ADC, LINE-IN,FM-IN,HP-IN)

3 LED intégrées : Power LED (Red) et LED (Green)  et (Bleue) à définir

Récepteur IR (infrarouge)

1 CI AXP209 intégré pour la gestion de l’énergie

1 connecteur TTL pour le débogage

Taille 92mmx60mm

Poids 45g

Banana Pi, Webcam sur CSI, GPIO avec le BPIDuino et le module 6LEDs, horloge RTC, quatrième partie.

Dans cette quatrième partie, je vais continuer à tester le Banana Pi et plus précisément les GPIOle  connecteur CSI pour la Webcam, le module ARDUINO en version Banana Pi c’est à dire le BPIDuino, ainsi qu’un module 6LEDs.

Vous trouverez aussi, une procédure pour installer la  distribution multimédia “XBMC” qui s’appelle maintenant “LeMedia“.

Pour terminer, vous trouverez des outils comme USBIT pour “USB Image Tool“, des solutions pour vous connecter à distance avec Putty et Xming en duo, via le mode console mais aussi en mode graphique.

 

PLAN DU TUTORIEL

1 – Banana Pi, comment alimenter l’horloge interne RTC.

2 – Le module BPIDuino. (Reset automatique : lien vers la solution)

3 – Caméra Banana Pi sur connecteur CSI.

4 – Test du kit de programmation 6 LEDs.

5 – Test de la distribution “LeMedia” pour Android. 

6 – USB Image Tool, un petit outil fort utile, pour les possesseurs de micro-ordinateurs.

7 – Installation et utilisation de SSH via un PC sous Windows avec PuTTY.

8 – Installation de Xming en complément de PuTTY pour intégrer le mode graphique.

— Début—

Dans ce tutoriel, je ne suis en aucun cas responsable des dommages occasionnés suite à une mauvaise manipulation.

.

 

1 – Banana Pi, comment alimenter l’horloge interne RTC.

 

Sur le Banana Pi, pas besoin de tournicoter, la procédure est simple pour alimenter l’horloge temps réel “RTC”.

C’est-à-dire, c’est le moyen de garder l’heure sur le Banana Pi, sinon à chaque arrêt du Banana Pi il faut attendre la synchronisation avec les distributions.

Le plus simple c’est d’acheter le module  ici :  Batterie CR2032 pour RTC.

Mais ce n’est pas ma solution, sachant que je possède les pièces détachées pour le faire moi-même !

Ma procédure de création pour alimenter l’horloge RTC du Banana Pi, en images :

 

.

.

(Tester la polarité du fil rouge + et noir – avec un multimètre)

.

(Avant de souder, retirer la pile CR2032 et tenir compte des indications + et sur le Banana Pi)

  

 

 

Montage en vidéo, ici :

 

http://youtu.be/bcjwPvhHsog

 

Voilà, c’est fini.

 

 

 

2 – Le module BPIDuino.

BPIDuino, c’est un module ARUDINO UNO qui se connecte sur les GPIO du Banana Pi.

Vous pouvez le trouver, ici : Module d’extension Arduino

 

2-1 Matériel nécessaire pour utiliser le module :

– Un adaptateur 26 Broches.

AdaptateurGPIO

– le BPIDuino.

 

 

 

Avec adaptateur 26 broches sur le boitier blanc, c’est fonctionnel et très pratique !

 

N’ayant pas d’adaptateur 26 broches lors de mes tests, je vais fabriquer mon propre câble en photo ci-dessous.

 

Mais comme j’utilise des connecteurs PC, le brochage sur les connecteurs noirs sont inversés !

Maintenant j’installe des pins sur un des connecteurs noirs 26 broches.

 

 

Brancher l’adaptateur sur le Banana Pi et ensuite poser et clipser le BPIDuino.

C’est fait !

Vous pouvez brancher et démarrer le banana pi sous Raspbian 3.1.

Lors du démarrage et dès le branchement, la LED rouge s’allume sur le Banana Pi. (Cela indique que le BPIDuino fonctionne correctement)

2-2 Test de branchement du BPIDuino.

La LED Rouge “ON” allumée ainsi que la LED “RX”  et la LED “L” qui clignote.

 

2-3 Sous Raspbian 3.1, test 1:

(Vous n’êtes pas obligé de brancher une LED pour le test, il suffit de vérifier le bon fonctionnement avec la LED “L“, lors du test)

Je branche sur la broche 13 du BPIDuino le câble + d’une LED avec une résistance. Le câble de la LED sur le GND.

Dans le menu, cliquer sur “Programming” et lancer Arduino IDE en cliquant dessus.

Dans le logiciel, cliquer sur “File”  “Exemples”  “Basics” et vous devez choisir “Blink“.

Maintenant cliquer sur la flèche (dirigée vers la droite) juste en dessous du menuEdit“.

Le programme est envoyé Du Banana Pi en passant par les GPIO et enfin envoyé au module PBIDuino.

 

Si une erreur apparaît, il faudra modifier la configuration du logiciel Arduino IDE.

Dans le menu “Tools“, cliquer sur “Board” et choisir “Arduino Uno“, si cela n”est pas encore fait.

Ensuite juste dessous Board“, vous avez “Serial Port” et choisir un port.

Sur mon Kit j’utilise le port /dev/ttyS2“.

.

 

 

2-3 Sous Raspbian, test 2 :

J’ai voulu récemment faire des tests avec le BPIDuino et je constate des erreurs lors de l’envoi de mon programme vers le module !

Je pensais avoir un BPIDuino avec un défaut ! Mais récemment un internaute lointain “Scott W….”, me fait constater qu’il fait la même erreur avec son module.

2.3.1 Mon test LEDs éteintes. (Pas de flash pour constater que les LEDs sont éteintes, programme de droite)

(2 LEDs éteintes ainsi que la LED L)

2.3.2 Mon test LEDs allumées. (Pas de flash pour constater que les LEDs sont allumées, programme de gauche)

 

LEDsProgrammeTest

(2 LEDs allumées et la LED L éteinte)

 

Information pour l’envoi du programme vers le BPIDuino (Merci à “Scott W….”), ça fonctionne !  Mais ce n’est pas pratique !

J’effectuais cette manipulation sans réfléchir lors de mes premiers tests, c’est pourquoi cela avait fonctionné dans mon test 1, voir les photos.

Pour envoyer le programme vers le BPIDuino, pour que vous n’ayez pas un message d’erreur du genre “avrdude:stk500_Getsync():not in sync:resp=0x00…“, il faut appuyer sur RESET physiquement (sur le BPIDuino), lors de la phase de transfert vers le BPIDuino, j’ai bien dit d’appuyer sur la flèche pour envoyer le programme vers le module et à la fin de la phase de compilation cliquer sur “RESET” juste avant l’envoi du programme !

Dans l’attente d’une autre solution …

 

2.4 Solution pour le reset automatique du BPIDuino. MAJ du 12 Janvier 2015.

La solution pour faire un reset automatique du BPIDuino, c’est ici : 

http://banana-pi.fr/index.php?post/2015/01/12/Tutoriel-%3A-Mettre-en-place-le-reset-automatique-du-Module-d-extension-Arduino.

 

Merci à Zakaria YAHI, pour cette solution…

 

Pour ma part, je n’y arrive pas avec cette solution ! Mais j’ai fait beaucoup de manipulations sur cette distribution Raspbian 3.1 ! 

Je vous propose une solution pour Raspbian v3.1 et ma solution pour Raspbian v1412 en tenant compte du tutoriel de Zakaria.

 

2.5 Ma solution pour Raspbian For BananaPi v3.1, avec le reset automatique du module BPIDuino.

 

Actuellement mon processeur est à 100% avec la procédure décrite ci-dessus, le système est presque figé !

 

Je réinstalle Raspbian 3.1 sur une SD.

Le tutoriel de Zakara fonctionne avec une nouvelle installation de Raspbian 3.1 avec les updates et les upgrades.

Si vous avez une erreur lors de la copie d’une ligne de commande, je vous conseille de la saisir manuellement.

Dans un terminal, taper :

su

Le mot de passe ” “

Si la ligne de commande”git clone ………..” ne fonctionne pas, taper celle-ci manuellement :

git clone https://github.com/deanmao/avrdude-rpi.git

Taper :

cd avrdude-rpi

Si cela fonctionne vous pouvez passer à l’ “Étape B“.

 

Si cela ne fonctionne toujours pas, vous pouvez aussi, aller directement à cette adresse :

https://github.com/deanmao/avrdude-rpi

Cliquer en bas à droite sur : https://github.com/deanmao/avrdude-rpi/archive/master.zip

Copier les fichiers vers Documents.

Décompresser le fichier avrdude-rpi.zip avec bouton droit souris et l’option “Extract here”.
Renommer le répertoire pour simplifier, en avrdude par exemple.

Ouvrir un terminal et taper :

su

Votre mot de passe de session : ” “

Taper :

cd Documents

Et :
cd avrdude

Puis :

ls

Étape B.

Vous devez retrouver les trois fichiers autorest et avrdude-autoreset et un autre pour information.

Les copier dans usr et bin :

cp autoreset /usr/bin

Et
cp avrdude-autoreset /usr/bin

taper :
cd /
Pour revenir à la racine de Raspbian.

Maintenant nous allons dans /usr/bin, en tapant :

cd /usr/bin

Pour protéger le fichier original je vous conseille de faire une copie backup, car si vous faites plusieurs manipulations vous supprimerez votre fichier original.
En premier, taper : (Nous sommes toujours en “su” et dans le répertoire /usr/bin)
cp avrdude /usr/bin/avrdude-backup

Mantenant, taper :

mv avrdude /usr/bin/avrdude-original

ln -s avrdude-autoreset /usr/bin/avrdude

Pour finir avant le test, nous allons modifier le fichier, en tapant :
sudo leafpad autoreset

Sur la ligne 15, nous avons “pin=11
sur la ligne 17 modifier GPIO.HIGH en GPIO.LOW
sur la ligne 19 modifier GPIO.LOW en GPIO.HIGH

Enregistre le fichier.

A partir d’ici, si vous n’avez pas tapé les lignes ci-dessous, vous aurez la même erreur de synchronisation !

Avant de tester, il faut faire :

sudo apt-get update

sudo apt-get upgrade

 

Après cela les erreurs n’existent plus !

Lancer Arduino en tapant :
sudo arduino

Dans le menu “Tools” et “Board” choisir “Arduino Uno” et menu “Tools“, “Port” choisir “/dev/ttyS2“.
Lancer un programme de test par exemple dans le menu “File” “Examples“, “Basics” cliquer sur “Blink“.
Cliquer sur la flèche -> upload et vérifier qu’aucun message en rouge ne s’affiche dans la fenêtre du bas !
Sauf :

Bapi : Banana Pi !!

Bapi : Banana Pi !!

Bapi : Banana Pi !!

Bapi : Banana Pi !!

BAPI : revision (2)

done with autoreset

Vous pouvez ensuite éteindre la LED en modifiant le programme, en mettant LOW à la ligne 20 : digitalWrite (led, LOW);

ça fonctionne, enfin ! 

 

2.6 Ma solution pour Raspbian For BananaPi v1412, avec le reset automatique du module BPIDuino. 

Après l’installation de Raspbian v1412, j’installe mon clavier FR et  je fais les “sudo apt-get update” et “sudo apt-get upgrade” 

Si vous avez une erreur lors de la copie d’une ligne de commande, je vous conseille de la saisir manuellement.

Dans un terminal, taper :

su

Le mot de passe ” “

Si la ligne de commande “git clone ………..” ne fonctionne pas, taper celle-ci manuellement :

git clone https://github.com/deanmao/avrdude-rpi.git

Taper :

cd avrdude-rpi

Si cela fonctionne vous pouvez passer à l’ “Étape B“.

 

Si cela ne fonctionne toujours pas, vous pouvez aussi, aller directement à cette adresse :

https://github.com/deanmao/avrdude-rpi

Cliquer en bas à droite sur : https://github.com/deanmao/avrdude-rpi/archive/master.zip

Copier les fichiers vers Documents.

Décompresser le fichier avrdude-rpi.zip avec bouton droit souris et l’option “Extract here”.
Renommer le répertoire pour simplifier, en avrdude par exemple.

Ouvrir un terminal et taper :

su

Votre mot de passe de session : ” “

Taper :

cd Documents

Et :
cd avrdude

Puis :

ls

Étape B.

Vous devez retrouver les trois fichiers autorest et avrdude-autoreset et un autre pour information.

Les copier dans usr et bin :

cp autoreset /usr/bin

Et
cp avrdude-autoreset /usr/bin

taper :
cd /
Pour revenir à la racine de Raspbian.

Maintenant nous allons dans /usr/bin, en tapant :

cd /usr/bin

Pour protéger le fichier original je vous conseille de faire une copie backup, car si vous faites plusieurs manipulations vous supprimerez votre fichier original.
En premier, taper : (Nous sommes toujours en “su” et dans le répertoire /usr/bin)
cp avrdude /usr/bin/avrdude-backup

Mantenant, taper :

mv avrdude /usr/bin/avrdude-original

ln -s avrdude-autoreset /usr/bin/avrdude

Pour finir avant le test, nous allons modifier le fichier, en tapant :
sudo leafpad autoreset

Sur la ligne 15, nous avons “pin=11
sur la ligne 17 modifier GPIO.HIGH en GPIO.LOW
sur la ligne 19 modifier GPIO.LOW en GPIO.HIGH
Enregistre le fichier et tester.

Ici, mon test ne fonctionne pas.

Installer le module, en tapant : (Nous sommes toujours en su et dans le répertoire /usr/bin)

git clone https://github.com/LeMaker/RPi.GPIO_BP.git

Ensuite :
sudo apt-get update
et
cd RPi.GPIO_BP

sudo apt-get install python-dev

Enfin, pour finir :

python setup.py install

 

Lancer Arduino en tapant :
sudo arduino

Dans le menu “Tools” et “Board” choisir “Arduino Uno” et menu “Tools“, Port” choisir “/dev/ttyS2“.
Lancer un programme de test par exemple dans le menu “File” “Examples“, Basics” cliquer sur “Blink“.
Cliquer sur la flèche -> upload et vérifier qu’aucun message en rouge ne s’affiche dans la fenêtre du bas !
Sauf :

BAPI : revision (2)
done with autoreset

Vous pouvez ensuite éteindre la LED en modifiant le programme, en mettant LOW à la ligne 20 : digitalWrite (led, LOW); 

C’est fini et ça fonctionne !

 

 

 

 

3 – Caméra Banana Pi sur connecteur CSI.

La caméra Banana Pi “Module caméra OV5640” sur port CSI.

Module disponible, ici :  Caméra BananaPi – Module caméra OV5640

3-1 Installation. 

 

Insérer la nappe de la caméra sur la caméra, côté bleu face à l’objectif, en soulevant légèrement le clip marron vers le haut.
Insérer la nappe et refermer le clip marron sur la nappe en poussant avec le doigt vers le bas.

.
De l’autre côté de la nappe, vous pouvez maintenant insérer la nappe couleur bleue face au connecteur GPIO, mais avant cela soulever légèrement l’élément en plastique marron avec les doigts.

Vous pouvez aussi utiliser une tige en plastique en soulevant les bords doucement.

Ensuite, vous pouvez faire glisser la nappe entre l’élément plastique marron et blanc.

Appuyer légèrement sur les extrémités de l’élément plastique marron vers le bas, à gauche, puis à droite, jusqu’à bloquer complètement.

 

3-2 Sous Raspbian.

Il faut installer les pilotes.
Dans un terminal, taper :
su
votre mot de passe, ensuite

sudo modprobe ov5640

Puis :

sudo modprobe sun4i_csi0

 

Dans le menu “Sound & Video” lancer “guvcview”

 

Vous pouvez aussi utiliser le logiciel Mplayer, on commence par l’installer :

sudo apt-get install mplayer

lancement :
sudo mplayer tv://

 

3-3 Sous Android.

Après installation d’un logiciel pour la caméra, l’application demande un espace de stockage pour pouvoir fonctionner !

 

3-4 Sous Lubuntu.

Même résultat que sous Raspbian, sauf erreur à l’utilisation de guvcview.

Lors de mes tests, j’ai un affichage en 640×480.

Mon résultat n’est donc pas optimal !

3-5 Caractéristiques de la caméra CSI.

– Cette caméra sur CSI peut afficher une image en 2592×1944, c’est à dire 5 Mpx.

– Affichage vidéo en 1080P 30fps@24Mhz.

– L’objectif est un Omnivision 5640 CMOS autofocus avec filtre infrarouge.

– Format de sortie vidéo en Raw h.264.

– Format d’image en JPEG/PNG/YUV420/RGB888.

 

 

4 – Test du kit de programmation 6 LEDs.

Vous pouvez trouver le module en vente, ici : Kit programmatio 6 LEDs

Le plus complexe, ce n’est pas son utilisation mais plutôt le montage du module !

Livré en kit, à  vos fers à souder et bonne soudure.

4-1 Préparation du kit et montage des éléments à souder. 

Ne faite pas comme moi lors du montage ! J’ai cherché un petit moment le pôle + du buzzer, car l’étiquette n’était pas en face des pattes à souder en dessous (Il suffit de retirer la languette en papier et c’est gravé dessus)

Pour les LEDs, ce n’est pas évident à le remarquer, mais il y a bien un côté biseauté sur la LED qui correspond au pôle négatif ().

Le plus simple c’est de regarder la longueur des pattes à souder car le plus long c’est le positif (+).

Avant

Après

 

4-2 Matériel nécessaire pour utiliser le module :

4-2-1- Un adaptateur 26 Broches.

AdaptateurGPIO

 

4-2-2 Dans mon exemple ci-dessous, j’utilise mon câble adaptateur.

BPIDuino03

4-2-3- Le kit prêt à fonctionner.

4-3 Le programme.

Le programme “6led3.c” à télécharger ici : 6leds3 et à copier vers “/home/bananapi” en utilisant un explorateur de fichier “File Manager”.

Autre choix, copier  les lignes ci-dessous et garder la mise en forme lors du collage.

Ouvrir un terminal “LXTerminal”, vous êtes sous “bananapi@lemaker

Créer maintenant le programme en tapant :

sudo leafpad 6leds3.c

Votre logiciel Leafpad s’ouvre.

Sélectionner et copier le code ci-dessous et faite coller ou menu de Leafpad “Edit” et “Paste” dans le fichier vierge 6leds3.c et enregistrer par le menu Leafpad “File“, “Save“.

Quitter Leafpad.

Cela enregistre le fichier au format .c, ce qui permet ensuite de pouvoir le compiler.

 

—-Début du fichier 6led3.c—

#include <stdio.h>
#include <wiringPi.h>

int main (void)
{

int temp = 150;
wiringPiSetup();

pinMode(7,OUTPUT);
pinMode(0,OUTPUT);
pinMode(3,OUTPUT);
pinMode(12,OUTPUT);
pinMode(13,OUTPUT);
pinMode(14,OUTPUT);

while(1)
{

digitalWrite(7,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
digitalWrite(0,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(3,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(12,LOW);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(13,LOW);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(14,LOW);

digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(14,LOW);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(13,LOW);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(12,LOW);
digitalWrite(3,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(0,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(7,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);

digitalWrite(7,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
digitalWrite(0,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(3,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(12,LOW);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(13,LOW);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(14,LOW);

digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(14,LOW);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(13,LOW);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(12,LOW);
digitalWrite(3,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(0,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(7,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);

delay(temp);
digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(14,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(13,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(12,LOW);

digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(14,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(13,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(12,LOW);

digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(14,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(13,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(12,LOW);

digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(14,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(13,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(12,LOW);
delay(temp);

delay(temp);
digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
digitalWrite(12,LOW);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(13,LOW);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(14,LOW);
delay(temp);

digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
digitalWrite(12,LOW);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(13,LOW);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(14,LOW);

delay(temp);
digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
digitalWrite(12,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(13,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(14,LOW);

delay(temp);
digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
digitalWrite(12,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(13,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(14,LOW);

delay(temp);
digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
digitalWrite(12,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(13,LOW);
delay(temp);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(14,LOW);

delay(temp);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
digitalWrite(12,LOW);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(13,LOW);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(14,LOW);
delay(temp);
delay(temp);
delay(temp);
digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
delay(temp);
delay(temp);

delay(temp);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
digitalWrite(12,LOW);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(13,LOW);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(14,LOW);
delay(temp);
delay(temp);
delay(temp);
digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
delay(temp);
delay(temp);

delay(temp);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
digitalWrite(12,LOW);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(13,LOW);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(14,LOW);
delay(temp);
delay(temp);
delay(temp);
digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
delay(temp);
delay(temp);

delay(temp);
delay(temp);
digitalWrite(7,LOW);
digitalWrite(12,LOW);
digitalWrite(0,LOW);
digitalWrite(13,LOW);
digitalWrite(3,LOW);
digitalWrite(14,LOW);
delay(temp);
delay(temp);
delay(temp);
digitalWrite(7,HIGH);
digitalWrite(12,HIGH);
digitalWrite(0,HIGH);
digitalWrite(13,HIGH);
digitalWrite(3,HIGH);
digitalWrite(14,HIGH);
delay(temp);
delay(temp);
delay(temp);

}

return 0;

}

—-Fin du fichier 6led3.c—

4-4 Compilation et lancement du programme.

Maintenant que nous avons créé le programme 6leds3.c, il faut le compiler dans le terminal, en tapant :

gcc -Wall -o 6leds3 6leds3.c -lwiringPi

Enfin nous pouvons lancer le programme en tapant :

sudo ./6leds3

 

Résultat.

Le résultat final en vidéo ci-dessous.

 

[youtube]http://youtu.be/0Kgurn0bvmI[/youtube]

 

Enjoy !

 

 

 

5 – Test de la distribution “LeMedia” pour Android. 

La distribution est disponible en téléchargement, ici : LeMedia 1.1 17Nov2014

C’est la version LeMedia 1.1 en date du 17 Novembre 2014, c’est donc la plus récente.

Décompresser le fichier deux fois pour passer de “LeMedia_v1.1.tgz”, à “LeMedia_v1.1.tar”, et enfin à “LeMedia_v1_1.img”.

5-1 Préparation de la SD card.

Insérer votre carte SD dans votre ordinateur. Vous devez utiliser une carte SD ou micro SD+Adaptateur SD de 8Go minimum.

Formater la carte SD :

Télécharger l’outil de formatage “SD Formater” depuis : https://www.sdcard.org/downloads/formatter_4/eula_windows/

« C’est un super programme, car ce petit programme permet en activant l’option « On », de formater votre carte SD et les partitions cachées ou partitions Linux etc… »

Décompresser et installer le programme “SD Formater” .

Démarrer le logiciel “SD Formater” en cliquant sur son icône sur le bureau ou dans la liste de vos programmes. 

Vérifier que vous pointé bien vers la bonne carte SD avant de poursuivre !

Cliquer sur “Option” et choisir “on“.

BPi5

Après avoir fait la vérification décrite ci-dessus, vous pouvez  cliquer sur le bouton “FORMAT” .

 

5-2 Installation de l’OS sur la SD ou micro SD + adaptateur SD.

Nous allons maintenant installer l’image de l’OS sur notre support.

Pour cela il faut télécharger l’outil suivant “Win32Diskimager” depuis : http://sourceforge.net/projects/win32diskimager/files/Archive/

Décompresser le fichier et lancer le programme “Win32DiskImager.exe” depuis son répertoire.

Vérifier, avant de poursuivre que le logiciel a bien détecté la bonne carte SD.

Choisir l’image que vous avez précédemment téléchargée et décompressée “LeMedia_v1_1.img”, maintenant vous pouvez cliquer sur “Write” .

Attendre la fin de la procédure !

 

Lorsque cela est terminé, insérer votre carte dans votre Banana Pi sans forcer (face dorée vers le haut et vers le Banana Pi dans le connecteur SD)

 

5-2 Premier démarrage de la distribution LeMedia.

Vous n’avez rien à configurer pour pouvoir démarrer la distribution.

 Le menu de “LeMedia“, où l’on constate d’ailleurs que le nom XBMC, n’a toujours pas disparu ! 

 

Résultat :

Bof ! Bof !

Des latences régulières lors des changements de menu ou  juste en déplaçant la souris ! LeMedia se fige !

Un gros fichier “LeMaker…..BananaPi Pro. avi” de 450 Mo dans la distribution. Je comprends maintenant pourquoi, j’ai dû utiliser une SD de 8 Go.

Des bugs visuels lors de l’affichage des vidéos, même en modifiant les paramètres !

Ce n’est pas terrible, je l’efface et j’attends avec impatience une version fonctionnelle.

C’ est dommage, car j’attendais une version stable et fonctionnelle !

 

6 – USB Image Tool, un petit outil fort utile, pour les possesseurs de micro-ordinateurs.

 

Je vous présente un petit outil, obligatoire pour les possesseurs de Banana Pi, Cubietruck, pcDuino….

C’est USBIT, non, non, ce n’est pas un gros mot ! C’est pour “USB Image Tool” .

 

Vous pouvez le trouver ici : https://www.filecluster.com/downloads/USB-Image-Tool.html

 

Cet outil permet de créer une image de votre système Lubuntu, Android … présent sur une SD ou micro SD ou même sur une clé USB.

Vous pouvez ainsi faire une copie de vos systèmes vers votre pc et garder cette image en sauvegarde.

USBIT01

 

Ensuite vous pouvez restaurer cette image vers une SD ou micro SD  et USB de même capacité.

Pour créer votre sauvegarde, je vous conseille de choisir en haut à gauche le mode “Device Mode” et ensuite cliquer sur “Backup” en bas à droite. Donner un nom et un chemin pour la sauvegarde, valider.

Pour restaurer votre sauvegarde ou la copier sur une autre carte SD, micro SD ou clé USB de même capacité, il suffit de cliquer sur “Restore” , ensuite, choisir l’image à restaurer présente sur votre PC.

 

Ça fonctionne et c’est gratuit !

 

7 – Installation et utilisation de SSH via un PC sous Windows avec PuTTY.

 

Sur Lubuntu, SSH est déjà installé, il suffit juste de vérifier l’adresse IP du Banana Pi, en tapant dans un terminal :

ifconfig

Dans mon cas, c’est :

192.168.1.75

 

Maintenant sur votre PC sous Windows, vous devez télécharger le fichier”putty.exe“, ici : http://www.chiark.greenend.org.uk/~sgtatham/putty/download.html

 

PuTTY01

 

 

Lancer le programme en cliquant sur « putty.exe » sur votre PC.

 

PuTTY02

 

Mettre l’adresse IP dans la case, comme sur l’image ci-dessus.

 

PuTTY03

.

 

Valider par oui, et vous arrivez sur la fenêtre de connexion.

login as :

Il ne reste plus qu’à taper votre nom d’utilisateur “bananapi” et ensuite votre mot de passe “bananapi” .

C’est fait, vous êtes sur votre Banana Pi via un serveur SSH sous Windows, dans un terminal en mode console.

 

 

8 – Installation de Xming en complément de PuTTY pour intégrer le mode graphique.

SSH est déjà installé sur Lubuntu.

il faut vérifier l’adresse IP de votre banana pi dans un terminal, en tapant :

ifconfig

Utiliser la procédure décrite ci-dessus pour télécharger et utiliser PuTTY, en section  7 – Installation et utilisation de SSH via un PC sous Windows avec PuTTY“.

Pour pouvoir utiliser  une connexion à distance avec PuTTY, en mode console mais aussi en mode graphique, nous devons ajouter et installer le logiciel suivant sur le PC sous Windows “Xming”, à télécharger ici : http://sourceforge.net/projects/xming/files/latest/download?source=files

 

Installer Xming sur le PC sous Windows sans rien changer.

Lancer Xming en utilisant l’icône sur votre bureau.

Maintenant vous pouvez lancer Putty.

Déplacez-vous dans l’onglet SSH à gauche cliquer sur le + pour le détail et choisir X11.

 

Enfin, cliquer à droite sous “X11 forwarding” en cochant la case Enable X11 forwarding.

Remonter dans “Catégorie” sur Session.

Dans la fenêtre vous devez indiquer l’adresse IP du Banana Pi sous Host Name (orIP address) : pour moi c’est 192.168.1.62

C’est fait, taper vos identifiants “bananapi” et mot de passe “bananapi“.

Dans le terminal, sous Putty, lancer les applications en mode graphique en tapant par exemple : leafpad ou chromium-browser
ou firefox.

Dans PuTTY, taper : 

firefox

Dans PuTTY, taper : 

chromium-browser

Dans PuTTY, taper : 

leafpad

Etc …

 

C’est coooooollllllll, n’est-ce pas !

 

 

Banana Pi en test, troisième partie.

Dans cette troisième partie, je vais continuer à tester le Banana Pi, les GPIO, les connecteurs (CSI,…), ainsi que d’autres distributions Linux.

J’espère que d’ici là, j’aurais pu tester une version stable et fonctionnelle de la distribution XBMC !

Sous Lubuntu, toujours pas de vidéo via Youtube. Aucune information sur les forums ???? Pas de solution pour l’instant. (Impossible de trouver un plugin qui fonctionne !)

 

PLAN DU TUTORIEL.

 

1 – Démarrage automatique : Sous Lubuntu configuration du démarrage automatique de ma session.

2 – Désactivation du verrouillage de ma session : Sous lubuntu, désactiver le verrouillage de session avec “Light Locker”.

3 – Raspbian premier démarrage : Premier démarrage et configuration de “Raspbian_For_BananaPi_v3.0″.

4 – Arduino : Utilisation de l’arduino sur “Raspbian_For_BananaPi_v3.0”.

5 – Test des GPIO : Sous la distribution “Raspbian_For_BananaPi_v3.0”.

6 – BerryBoot : BerryBoot, enfin disponible sur Banana Pi.

 

Partie3-1

 

1 – Démarrage automatique : Sous Lubuntu configuration du démarrage automatique de ma session.

Si je démarre ma session en automatique, cela me permet de ne plus brancher de souris, ni de clavier, mais seulement un PowerPack ou la prise d’alimentation et la prise RJ45 au réseau, car dans mon cas, je n’ai pas encore de clé Wi-Fi compatible avec le Banana Pi.

On commence par démarrer sa session, ensuite vous ouvrez un terminal en “su“, et vous tapez votre mot de passe de session.

Maintenant vous taper ceci : sudo leafpad /etc/lightdm/lightdm.conf

Dans mon cas c’est mot de passe “bananapi” et ma session est “bananapi

Dans le fichier ouvert “lightdm.conf” sous leafpad, vous devez copier les 5 lignes ci-dessous :

[SeatDefaults]
autologin-user=votre_nom_d_utilisateur
autologin-user-timeout=0
user-session=Lubuntu
greeter-session=lightdm-gtk-greeter

A la deuxième ligne, ajouter votre nom de session (Attention ! Vérifier bien avant de faire la manipulation de ne pas faire d’erreur dans  “Paramètres utilisateur” avec votre nom de session)

Résultat après modification pour mon cas : 

[SeatDefaults]
autologin-user=bananapi
autologin-user-timeout=0
user-session=Lubuntu
greeter-session=lightdm-gtk-greeter

Enregistrer le fichier et redémarrer Lubuntu.

C’est chouette, j’arrive sur mon bureau sans rien taper au clavier !

 

Pour supprimer le démarrage automatique de ma session il faudra ajouter le # devant la ligne 2 et 3 du fichier “lightdm.conf” comme cela :

[SeatDefaults]
# autologin-user=bananapi
# autologin-user-timeout=0
user-session=Lubuntu
greeter-session=lightdm-gtk-greeter

Enregistrer et redémarrer.

Ce n’est pas fini, il faut configurer la veille de ma session, sinon retour à l’écran du login de ma session.

 

 

2 – Désactivation du verrouillage de ma session : Sous lubuntu, désactiver le verrouillage de session avec “Light Locker”.

Dans “menu“, “Préférences” et “Paramètres de Light Locker“. 

Configurer comme l’image ci-dessous.

 

3 – Raspbian premier démarrage : Premier démarrage et configuration de “Raspbian_For_BananaPi_v3.0″.

Démarrage de la distribution en 34 secondes.

La première chose à faire sur cette distribution pour les non anglophones, c’est de passer les menus et le clavier en FR pour Français. Pour les autres, vous pouvez passer à la partie B.

A- Installation du clavier “FR” “AZERTY” et des menus en Français.

Pour vérifier si vous êtes en “su” lors de l’ouverture d’un terminal, vous devez avoir “$“. Exemple : bananapi@lemaker ~ $

Pour le clavier en FR,  ouvrir un terminal, il est déjà en “su” (Super User), taper directement : sudo dpkg-reconfigure keyboard-configuration

Ensuite, pour passer les menus en FR, taper : sudo apt-get install language-pack-fr

Pour la mise à jour des paquets de la distribution : sudo apt-get update

Redémarrer la distribution Raspbian.

En option, vous pouvez faire la mise à jour du système (Attention ! Il peut y avoir des plantages pendant cette phase)

Taper : sudo apt-get dist-upgrade

B- Désinstallation de Mathématica. (Cela permet de libérer 462 Mo sur la SD)

Je n’ai pas la clé de licence !

Dans un terminal, taper : sudo apt-get remove wolfram-engine

Pour voir la liste des paquets installés, taper : dpkg –get-selections

Voilà, Raspbian est prêt.

 

 

4 – Arduino : Utilisation de l’arduino sur “Raspbian_For_BananaPi_v3.0”.

Je ne vais pas faire ici, un cours sur l’utilisation de l’arduino. Il faut simplement brancher l’Arduino sur un port USB et ensuite lancer le logiciel préinstallé “Arduino 1.5”. 

Il faudra certainement mettre à jour le logiciel.

Vous pouvez aussi acheter le shield  “Uno Board pour Banana Pi”, sur le site :  http://www.gotronic.fr/art-uno-board-pour-banana-pi-21962.htm

 

 

5 – Test des GPIO : Sous la distribution “Raspbian_For_BananaPi_v3.0”.

Je ne suis en aucun cas responsable des dommages occasionnés suite à une mauvaise manipulation.

Il y avait un bon exemple de test de GPIO via le site : http://banana-pi.fr/ , qui montre un exemple d’utilisation des GPIO, vous pourrez le voir quand le site sera de nouveau en ligne.

J’ai voulu tenter l’essai avec un écran LCD de 1.8″, mais cela est impossible à cause des “drivers” qu’il faut installer pour son utilisation.

Je vous conseille pour tirer le meilleur de cette petite bête, d’attendre des shields est des extensions qui sont compatibles Banana Pi.

Mon test simple de GPIO : (Test sur deux leds)

5.1- le programme.

Dans un terminal, il faut créer un dossier : “sudo mkdir led && cd led”

Créer maintenant le programme : “sudo nano led.c”

Copier le code ci-dessous dans le fichier led.c et enregistrer.

Fichier led.c (Deux leds clignotantes):

################

#include <stdio.h>
#include <wiringPi.h>

int main (void)
{

int temp = 100;
wiringPiSetup();

pinMode(5,OUTPUT);
pinMode(3,OUTPUT);

while(1)
{

digitalWrite(3,HIGH);

delay(temp);

digitalWrite(3,LOW);

digitalWrite(5,HIGH);

delay(temp);

digitalWrite(5,LOW);

}
return 0;

}

##############

Un autre exemple :

Fichier led.c (Une led qui clignote et une fixe):

################

#include <stdio.h>
#include <wiringPi.h>

int main (void)
{

int temp = 100;
wiringPiSetup();

pinMode(5,OUTPUT);
pinMode(3,OUTPUT);

while(1)
{

digitalWrite(3,HIGH);

delay(temp);

digitalWrite(3,LOW);

digitalWrite(5,HIGH);

delay(temp);

}

return 0;

}

##############

Vous pouvez cliquer dans le menu “Editon” et faite “coller”. 

Autre choix avec le bouton droit de la souris sur l’écran noir et choisir “coller”.

Pour enregistrer, il faut appuyer sur les touches CTRL et X, ensuite choisir “Y” pour oui, enfin valider le fichier “led.c”en appuyant sur “ENTER”

Vous pouvez vérifier la bonne création du fichier en tapant : “ls”

Passons à la compilation du programme, en faisant : “gcc -Wall -o led led.c -lwiringPi”

Si cela ne fonctionne pas, vérifier bien la ligne ci-dessus et repasser en “su”.

 

Démarrage du programme : sudo ./led

 

5.2- Le montage. 

J’utilise une vieille nappe de PC, pour connecteur LPT (imprimante), dans mon exemple.

J’ai un connecteur 26 fils mais seulement 25 connectés. Je fais donc attention à ma deuxième ligne de GPIO.

Connecter les câbles comme sur l’image ci-dessous :

 

 

 (Résistance de 100 ohms (marron/noir/marron//or), c’est suffisant pour les tests)

 

5.3- Résultat en vidéo.

 

Vidéo à télécharger (Une led qui clignote et une fixe), ici : http://uploadingit.com/file/ffapd0xdzqlqjyi9/GPIOtest.MOV

– Vidéo sur Youtube :

 

http://youtu.be/zj1b6y9SCT4

.

.

6 – BerryBoot : BerryBoot, enfin disponible sur Banana Pi.

 

Procédure d’installation de BerryBoot sur micro SD.

 

A-Installation de BerryBoot sur  le Banana Pi, avec un processeur A20.

Pour commencer, vous devez télécharger le fichier image en suivant ce lien ci-dessous :

Page de téléchargement, ici : http://www.lemaker.org/resources/9-131/berryboot.html

Ensuite, vous devez suivre la procédure décrite et cela pas à pas :

Après avoir téléchargé l’image BerryBoot compatible Banana Pi, il suffit de lancer un programme tel que “Win32 Disk Imager“.

Le logiciel permet de créer un système bootable sur lequel nous pourrons par la suite installer plusieurs distributions Linux et cela sur une seule carte micro SD.

Vous devez insérer une carte micro SD et ensuite lancer le logiciel Win32 Disk Imager, sur votre PC.

 

Enfin sélectionner l’image que vous avez préalablement téléchargée et décompressée deux fois pour arriver à cette image ” Berryboot_For_BananaPi_v1_0.img“.

 

Pour finir, vous pouvez lancer la procédure d’installation de l’image vers votre micro SD.

Maintenant, lorsque l’image a été installée sur la carte micro SD, vous pouvez mettre cette carte dans votre Banana Pi et le démarrer.

 

Votre premier écran de démarrage sous BerryBoot.

Valider, en cliquant sur  “OK”.

 

Accepter l’upgrade et veuillez suivre la procédure qui s’affiche à l’écran (Tout est automatique, la mise à jour et le redémarrage …)

 

Maintenant, il suffit de choisir dans le menu « Add OS » votre distribution Linux ou vos distributions Linux que vous voulez installer sur la microSD.

 

J’ai choisi une distribution dans la liste et maintenant l’installation démarre.

 

Pour finir, maintenant vous avez votre distribution Linux disponible dans la fenêtre sous “Add OS“.

 

Cliquer sur votre distribution Linux et celle-ci se lance.

Lubuntu

Fedora 18

Vous pouvez installer plusieurs distributions sur votre micro SD, en tenant compte de l’espace disponible sur votre micro SD.

Si vous voulez plus d’informations sur ce sujet, vous pouvez visiter le site suivant :  

http://forum.lemaker.org/viewthread.php?tid=4111&rpid=22076&ordertype=0&page=1#pid22076

 

C’est fini, et ça fonctionne.

 

 

Enjoy !

 

 

 

Banana Pi, déballage et premier démarrage, première partie.

Il existe plusieurs sites pour acheter le Banana Pi en France. C’est plutôt cool, non ! 

Pour mon Banana Pi, je l’ai commandé sur le site : https://e.banana-pi.fr/, car il était le premier site à avoir le banana Pi, disponible en France.   

Maintenant d’autres sites, toujours en France (je me répète), proposent le Banana Pi comme par exemple :  https://www.gotronic.fr

A vous de faire votre choix !

 

PLAN DU TUTORIEL

1 – Déballage.

2 – Les éléments nécessaires pour démarrer le Banana Pi.

3 – Montage et premier démarrage.

4 – Ma procédure pour installer Lubuntu pour Banana Pi.

4-1 Préparation de la carte SD (sous Windows).

4-2 Installation de l’OS.

5 – Démarrage du Banana Pi.

6 – Premier démarrage et mes premiers constats.

 — Début—

1 – Déballage.

Ma commande sur le site : https://e.banana-pi.fr/

Réception du colis :

48 heures après.

Emballage :

Le produit est bien emballé et bien protégé dans le colis.

Déballage :

Chaque produit est emballé lui même dans une autre boîte.

Ça commence bien !

.

2 – Les éléments nécessaires pour démarrer le Banana Pi.

Les éléments :

Le Banana Pi (Attention au Banana Pi comme tous les éléments électroniques il est sujet à l’électricité statique !)

(De plus, je vous conseille de vérifier visuellement et soigneusement le circuit de votre Banana Pi, avant le 1er démarrage)

Le boitier (optionnel)

Adaptateur secteur 1A 5 volts. (Je préfère 2A 5 volts)

Câble HDMI vers HDMI ou Cinch (RCA) jaune vers cinch jaune TV ou un convertisseur HDMI vers VGA

Une carte SD de 4 Go minimum

Un clavier

Une souris

Un mini hub USB 2.0 (optionnel)

 

3 – Montage et premier démarrage.

Montage :

Je vais tester le boitier transparent en acrylique et voir s’il est bien pensé et bien adapté pour recevoir et utiliser le Banana Pi lors de mes tests.

Il n’y a pas de documentation pour le montage, mais celui-ci est simple. Il est plutôt bien fait, bien pensé et fonctionnel  !

Petit bémol sur le boitier transparent : il manque des petits tampons en caoutchouc pour surélever le boitier et améliorer ainsi la ventilation du processeur A20, qui est situé dessous. (La hauteur des vis ne suffit pas !)

De plus lors de la lecture de plusieurs fichiers vidéos, le processeur chauffe beaucoup ! Un dissipateur aurait été souhaitable. Mais bon pour l’instant cela semble correct et suffisant. C’est mon avis, pour améliorer la longévité du produit !

Il manque aussi des petits boutons en plastique sur le boîtier transparent, sur la face des boutons power et reset. La solution : l’utilisation d’une tige en plastique pour appuyer sur les boutons à travers le boîtier en acrylique.

(Moi, j’utilise des “jumpers” récupérés sur des vieilles cartes)

Il existe un autre boitier en blanc pour ceux qui n’aime pas la transparence. (Moi, j’aime bien voir l’intérieur !

Le boitier en blanc semble plus abouti !

 

 

Voilà, le résultat produit monté.

 

 

Premier démarrage :

Mince, j’avais oublié ! Il n’y a pas de mémoire Flash intégrée, il faut donc installer un système via la carte SD ou le connecteur SATA (pour disque dur 2.5)…

Peut-être directement en USB ? NON

Pour l’instant passons à l’installation d’un système comme Lubuntu, cela me permettra de faire un comparatif avec le pcDuino V2 et son processeur A10 d’ancienne génération.

(Je n’ai pas encore pu tester le pcDuino V3 et le Cubietruck, mais cela se fera peut-être prochainement…)

 

Revenons au premier démarrage, c’est cool, j’ai toute la procédure sur le site : http://banana-pi.fr/?page_id=179

Bien vu !

 

4 – Ma procédure pour installer Lubuntu pour Banana Pi.

 

4-1 Préparation de la carte SD (sous Windows).

Insérer votre carte SD dans votre ordinateur. Vous devez utiliser une carte SD ou micro SD+Adaptateur SD de 4G ou plus.

Formater la carte SD :

Télécharger l’outil de formatage “SD Formater” depuis : https://www.sdcard.org/downloads/formatter_4/eula_windows/

C’est un super programme, car ce petit programme permet en activant l’option “On”, de formater votre carte SD et les partitions cachées ou partitions Linux etc…”

Décompresser et installer le programme “SD Formater“. 

Démarrer “SD Formater” en cliquant sur son icône sur le bureau ou dans la liste de vos programmes. 

Vous devez toujours vérifier que la carte SD correspond à celle que le logiciel détecte.

Cliquer sur “Option” et choisir “on“.

Maintenant et seulement après avoir fait la vérification décrite ci-dessus, vous pouvez  cliquer sur le boutonFORMAT“.

 

4-2 Installation de l’OS.

Télécharger l’image de l’OS de votre choix dans la section Téléchargement. ici : http://www.lemaker.org/article-28-1.html

J’ai choisi Lubuntu V3 pour Banana Pi  (Lubuntu 14.04)

Plus récent, l’image Lubuntu_For_BananaPi_v3.1.1, icihttps://docs.google.com/open?id=0B38hUt6ypQXDcld4M2p3WnozOWc

Pour mon exemple ci-dessous, je reste sur l’image  Lubuntu_1404_For_BananaPi_v3.0.

Décompresser le fichier téléchargé, deux fois. La première fois pour passer de Lubuntu_1404_For_BananaPi_v3.0.tgz, en Lubuntu_1404_For_BananaPi_v3.0.tar, enfin vous devez décompresser le fichier *.tar et après vous trouverez dans un sous-répertoire Lubuntu_1404_For_BananaPi_v3_0.img qui est l’image de l’OS à installer sur votre SD.

Nous allons maintenant installer l’image de l’OS sur notre carte SD.

Pour cela il faut télécharger l’outil suivant “Win32Diskimager” depuis : http://sourceforge.net/projects/win32diskimager/files/Archive/

Décompresser le fichier et lancer le programme “Win32DiskImager.exe“depuis son répertoire. 

Vérifier encore si le logiciel a bien détecté la bonne carte SD. Choisir l’image que vous avez précédemment téléchargée et décompressée “Lubuntu_1404_For_BananaPi_v3_0.img”, maintenant vous pouvez cliquer sur “Write“. Attendre la fin de la procédure avec patience !

 

Lorsque cela est terminé, insérer votre carte SD dans votre Banana Pi sans forcer (face dorée vers le haut et vers le Banana Pi dans le connecteur SD)

 

5 – Démarrage du Banana Pi.

Brancher le câble HDMI sur le port HDMI, le clavier et la souris sur les ports USB disponibles.

Insérer la prise RJ45 du réseau dans le connecteur Ethernet.

Attention au connecteur d’alimentation !  C’est celui qui est à gauche du port SATA.

Pour finir, brancher l’alimentation avec un adaptateur secteur en 5V et 1A minimum. Je vous conseille un adaptateur 5V en 2A si vous devez en acheter un.

 

Si tout c’est bien passé, le Banana Pi devrait démarrer en moins d’une minute avec Lubuntu.

Vous arrivez sur l’écran du choix de l’utilisateur.

Visuel des claviers “AZERTY “ET “QWERTY”

Vous devez cliquer sur “Lemaker” et choisir “Other…“. Ensuite, vous devez écrire dans la case vierge sousOther...”, les informations ci-dessous.

Pour le nom d’utilisateur, taper les lettres suivantes sur votre clavier Français, “bqnqnqpi” et le mot de passe “bqnqnqpi“, car le système Lubuntu au démarrage reconnaît le clavier US “QWERTY” alors que vous utilisez un clavier FR “AZERTY”.

Valider en cliquant sur “Log in“.

Voici l’écran d’accueil de Lubuntu pour Banana Pi. Si la prise réseau est branchée, l’accès internet est disponible immédiatement.

 

Pour éteindre le Banana Pi, vous pouvez utiliser le menu de votre distribution Linux….

Pour d’autres distributions, après l’étape ci-dessus, vous pouvez appuyer 5 secondes sur le bouton power pour éteindre le Banana Pi.

 

6 – Premier démarrage et mes premiers constats.

– Le démarrage est assez rapide avec une distribution installée sur une carte SD. (Moins d’une minute, c’est pas mal !)

Démarrage sans mot de passe entre 35 et 36 secondes sous Lubuntu !

– Lors de mes tests, j’utilise plusieurs cartes SD. Même si une carte SD est de catégorie “4”, cela ne signifie pas qu’elle fonctionne toujours avec cette norme. Sur deux cartes SD en catégorie “4”,j’en utilise une qui démarre beaucoup plus rapidement la distribution Linux.

Récapitulatif des spécifications SDHC pour les SD/microSD/Clés USB… :

Classe  Vitesse minimale
2 2Mo/s
4 4Mo/s
6 6Mo/s
8 8Mo/s
10 10Mo/s

– Je testerais prochainement une SD en catégorie 10 de 16 Go.

C’est fait : résultat avec une carte SD de 4 Go catégorie 4 et une SD de 16 Go en catégorie 10 sur la distribution Lubuntu.

Démarrage Lubuntu sur : SD 4 Go SD 16 Go
Catégorie 4 10
Résultat en seconde 35 sec 30 sec

 

Version Lubuntu 3.1.1.

– Mon premier test c’est l’accès internet, car cela me donne une bonne indication sur la fluidité et la vitesse du processeur.

– Internet très fluide, pour afficher les pages et la navigation sur les sites.

– Pour le téléchargement de fichiers aucun problème là aussi.

– Les vidéos via Youtube, comme pour le pcDuino v2, elles ne sont pas fluides. Il manque les plugins “packages” pour les navigateurs internet pour le décodage vidéo. Donc pour l’instant, je ne peux pas me prononcer. (Prochainement, dans ma deuxième partie)

– Les vidéos sont fluides sur une clé USB. Sans rien installer dans cette distribution vous pourrez écouter de la musique MP3, et lire des vidéos MP4.

– Sur la version Lubuntu 3.1.1, un correctif permet d’éteindre le Banana Pi via le menu et cela directement en une seule étape sans toucher au bouton power.

– Pas de BOOT sur un disque dur USB, avec ou sans adaptateur USB alimenté. De toute façon j’ai un port SATA ! 

– Tentative de démarrage d’une distribution via une clé USB, ce n’est pour l’instant pas possible !

C’est dommage de ne pas pouvoir démarrer un disque dur ou une clé USB sur les ports USB !

– Démarrage sur la sortie vidéo composite (prise jaune) :

– Aucun signal via une distribution Linux. (Test effectué sur deux TV LCD + un lecteur portable DVD/LCD)

Fonctionne avec Android. (Test effectué sur deux TV LCD + un lecteur portable DVD/LCD)

 – Pour l’instant je n’arrive pas à démarrer une distribution via le port SATA, J’ai dû oublier quelque chose ! (prochainement dans ma deuxième partie)

Certainement un paramétrage du démarrage du disque dur différent de celui d’une SD sous Linux ou Android, mais ???

Ou peut-être qu’il est impossible de démarrer une distribution par le connecteur SATA. Le connecteur n’est utilisable que pour brancher un disque dur pour du stockage ? C’est bizarre ! Rien sur les forums …

 

Voilà, j’en ai fini avec cette première partie.

Mais je suis très content de se Banana Pi et je vais continuer à jouer et tester cette petite bestiole dans ma deuxième partie !

Un prix très raisonnable pour une petite machine survitaminée…

Elle offre une combinaison de possibilité avec Linux… Android…. et tous les connecteurs présents…

J’attends aussi avec impatience la portabilité ou l’adaptation du logiciel BerryBoot, car cela nous permettrait d’avoir sur une SD plusieurs distributions Linux …

(pour plus d’informations sur BerryBoot, vous pouvez lire mon article ici :  BerryBoot, le multiboot pour micro-ordinateurs et tablettes Android avec un processeurs A10, c’est pratique ! 7 juillet )

– Une information importante, sur le processeur, car il semble que le Banana Pi intègre le A20 non bridé pouvant aller à plus de  1.5 GHz. Pour cela il faudra ventiler le processeur et ajouter un dissipateur thermique….

(Mais pour l’instant je n’ai pas envie de casser mon joujou !)

 

J’attends aussi avec impatience les prochaines versions du Banana Pi, avec 4 cœurs (A31) par exemple et 2 Go de RAM…

La communauté Banana Pi est en pleine effervescence, c’est plutôt un point positif, car cela veut dire que beaucoup de projets vont bientôt voir le jour…

Mais pour l’instant j’ai de quoi faire ! (disponible prochainement dans ma deuxième partie)

 

Suite de mes tests ici : Banana Pi en test, deuxième partie.

 

 

 

Enjoy !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nano-ordinateur Banana Pi

Banana Pi, un nano-ordinateur à la sauce Raspberry Pi, en version améliorée.

 

 

 

 

 

 

 

 

Caractéristiques :

Processeur A20 ARM Cortex-A7 (Allwinner A20)2 cœurs à 1 GHz  😛

Processeur graphique intégré ARM Mali400MP2 compatible OpenGL ES 2.0/1.1  

RAM de 1GB DDR3 (partage avec le processeur graphique)  🙂

Lecteur de carte SD (Jusqu’à 64 Go)

1 connecteur SATA (pour disque dur 2.5 ” SATA avec une sortie 5V pour son alimentation)  🙂

Ethernet RJ45 Gigabit 10/100/1000  🙂

Dongle Wifi en option  

1 entrée CSI pour un module caméra

1 entrée micro

1 sortie vidéo HDMI 🙂

1 Sortie vidéo Composite   🙂

1 sortie vidéo via le connecteur LVDS  🙂

1 sortie audio 3.5 mm Jack et aussi via le connecteur HDMI  🙂

1 port Micro USB pour l’alimentation de la carte Banana Pi (5V, avec un minimum de 2A pour son fonctionnement)

1 port micro USB (OTG

2 ports USB 2.0 

3 boutons intégrés : Power, Reset, clé Uboot 

1 connecteur GPIO(2X13), I2C, UART, SPI connexions. Le 5V et 3,3 V…

3 LED intégrées : Power LED (Red), LED Ethernet (Blue) et LED de fonctionnement (Green)

Récepteur IR (infrarouge)

Fonctionne sous : Android 4.4 / Debian / Ubuntu / Raspbian Debian Wheezy 🙂

Dimensions 92mm x 60 mm

Poids 48g

 

Disponible en France ici :  http://e.banana-pi.fr/fr/    et ici aussi : http://www.gotronic.fr 

 

Pour un prix inférieur à 54 €, c’est très intéressant au vu de sa configuration matérielle.

 

Encore du nouveau pour la Banana Pi, un forum et un site dédiés en français, c’est cool !

C’est par ici : http://banana-pi.fr/ 

 

Prochainement (peut-être) un test complet sur cette petite bestiole survitaminée !

 

Premier démarrage et les tests du Banana Pi ci-dessous : 

 

– Banana Pi, déballage et premier démarrage, première partie.

– Banana Pi en test, deuxième partie.

– Banana Pi en test, troisième partie.