castman.fr – La technologie, à la portée de tous ! Toujours d’actualité … Écologie et technologie en harmonie, est-ce encore de l’utopie ? Sur mon site, vous trouverez une mine d’informations, sur les produits high-tech en général. Vous trouverez aussi, des tutoriels, des astuces, mes coups de gueule et mes coups de cœur, sans oublier, mon espoir sur le thème “Je contribue, pour ma planète !“. Je n’ai pas la science infuse, mais c’est la science qui fuse.

Raspberry Pi 2 B, sous Raspbian, deuxième partie.

Dans cette deuxième partie concernant le Raspberry Pi 2 version B, je vais décrire et tester Raspbian, les GPIO, la caméra en USB, l’installation simpliste d’une clé USB Wi-Fi (à ma seconde tentative !) , ma solution pour connecter un disque dur externe USB, un descriptif sur les logiciels installés, l’audio et la vidéo  et Youtube via un navigateur et j’en passe….

Vous pouvez trouver une multitude de tutoriels sur le net, pour compléter ma démarche de simplification à l’extrême, pour mettre le monde des nano-ordinateurs à la portée de tous !

La force du Raspberry Pi, c’est la présence d’une très grande communauté qui gravite autour d’un nano-ordinateur tout en gardant sa compatibilité avec les versions précédentes. C’est un plus énorme !

À partir d’ici, comme je vous l’indique déjà plus haut, vous pouvez trouver sur le net des tutoriels en masse, qui peuvent fonctionner avec quelques modifications sur cette version 2 B.

 ATTENTION !

Je ne suis en aucun cas responsable des dommages occasionnés suite à une mauvaise manipulation.

 

 

 Plan du tutoriel

1 – Premier démarrage de Raspbian.

2 – Mise à jour du système obligatoire, comme sur toutes mes nano-machines.

3 -Navigation sur le web avec le navigateur “Epiphany”.

4 – Scratch, un outil pour créer son premier programme.

5- Wolfram “Mathematica et Language” , des puissants outils pour la programmation et le calcul.

6 – Branchement d’une clé USB ou d’un disque dur USB.

6-1 Les clés USB.

6-2 Un disque dur USB.

7 – Connexion à distance sur le Raspberry Pi 2 B. (Utilisation de SSH)

8 – Connexion à distance avec TightVNCserver.

9 – Installation d’une clé Wi-Fi USB.

10 – L’utilisation des GPIO sur le Raspberry Pi 2 Version B.

10-1 Les GPIO.

10-2 Des petits programmes pour tester les GPIO sous Scratch et sous Python.

11 – L’audio et la vidéo.

11-1 Audacity et VLC.

11-2 Omxplayer.

11-2 Vidéo sur Youtube.

12 – Démarrage automatique de votre session.

13 – Installer une caméra USB (Webcam).

 

 

 

 

—Début du tutoriel—

 

 

1 – Premier démarrage de Raspbian.

Commençons par démarrer le RBPi2B, sur lequel j’ai préalablement installé NOOBS ainsi que Raspbian sur une micro SD. Pour plus de détails sur le sujet, vous pouvez suivre la procédure décrite dans mon premier tutoriel, ici :

Raspberry Pi 2 B, déballage et premier démarrage, première partie.

 

Au démarrage, dés que l’on branche l’adaptateur secteur USB, la nano-machine démarre et vous arrivez ici :

raspberrypi login:

Taper votre nom d’utilisateur.

pi

Valider.

Ensuite, vous avez :

Password:

Taper votre mot de passe.

raspberry

Valider.

Maintenant, vous êtes ici :

pi@raspberrypi ~$

Vous pouvez lancer l’environnement graphique en tapant :

startx

Valider.

RaspbianBureau01

(Le menu sous Raspbian)

RaspbianBureau02

 

Temps de démarrage.

Le démarrage est très lent, mais cela semble normal puisque nous passons par la fenêtre de boot avec NOOBS ensuite taper l’utilisateur et le mot de passe en terminant par le lancement de l’environnement graphique avec startx.

Cela me donne, environ 51 secondes pour arriver sous Raspbian.

Dans la section “12 – Démarrage automatique de votre session.“, le test avec le démarrage automatique de ma session.

 

L’heure, la date et le choix de la langue pour le menu et le clavier.

C’est cool sur cette nano-machine, si vous avez fait l’installation comme je l’indique dans mon tutoriel “Raspberry Pi 2 B, déballage et premier démarrage, première partie.“, vous n’avez plus rien à modifier !

 

 

2 – Mise à jour du système obligatoire, comme sur toutes mes nano-machines.

 

À droite du menu en haut à gauche,  vous pouvez cliquer sur l’icône avec un carré noir, c’est notre terminal qui nous permet de taper des instructions et de les installer. Vous pouvez le faire aussi, via le “Menu”, “Accessoires”, cliquer sur “LXTerminal”.

 

Après cette ligne “pi@raspberrypi ~$”, vous devez taper :

sudo apt-get update

Valider.

Ensuite, lorsque cela est fini, vous continuez avec :

sudo apt-get upgrade

Valider.

Pendant cette “upgrade”, veuillez cliquer par “o” pour dire “OUI” lorsque cela s’affiche !

 

Vérifier la version de son Firmware sous Raspberry Pi 2 B, en tapant :

/opt/vc/bin/vcgencmd version

Valider.

MAJ-01

Pour vous amuser et pour avoir d’autres informations, taper :

uname -a

Valider.

Ce qui vous donne des informations sur la version de Linux “noyau” en “3.18.11-v7+“, sur le type de processeur ARMV71, la date de cette version dans mon cas, le 21 avril 2015 ……

Putty sur RBPi2B01

ATTENTION !

À utiliser avec modération.

Mettre à jour la version de Raspbian, en tapant : (Sous Raspbian, pas de problème pour faire cette procédure de MAJ du noyau)

sudo rpi-update

Valider.

Attendre la fin de la procédure et vous pourrez constater s’il y a une différence en suivant les informations qui s’affichent à l’écran.

MAJ-02

Dans mon cas, j’ai le noyau qui passe de “3.18.11-v7+” à “3.18.14-v7+” etc…..

 

Redémarrer votre nano pour que la MAJ s’applique.

.

Une autre option.

Dans un terminal, taper :

sudo apt-get dist-upgrade

Valider.

C’est encore un autre moyen de mettre à jour les paquets … (ex : wiringpi…. gstreamer0.10…iceweasel …)

 

 

3 -Navigation sur le web avec le navigateur “Epiphany”.

Via l’icône à droite du menu, vous pouvez accéder directement à internet, si vous avez branché votre câble réseau RJ45. (Liaison entre votre box ADSL et votre RBPi2B)

4 – Scratch, un outil pour créer son premier programme.

Je vous présente Scratch en version 1.4, pour débuter dans la programmation d’un logiciel ou d’un jeu. C’est une manière simple et ludique pour créer son premier programme.

Scratch02

Pour plus d’informations sur l’utilisation de Scratch, cliquer dans le menu “Aide” et “Ecrans d’aide…”. Vous pouvez aussi, utiliser les innombrables programmes dans le menu “Fichier”, “Ouvrir” et choisir dans la liste qui s’affiche un programme pour comprendre son fonctionnement et par la suite créer le vôtre.

 Scratch01

 

 

5- Wolfram “Mathematica et Language” , des puissants outils pour la programmation et le calcul.

 

Sur toutes les déclinaisons de Raspberry Pi, nous avons un puissant outil pour le développement, mais aussi un puissant outil pour le calcul.

Wolfram01

.

Wolfram02

 

Et c’est gratuit !

 

6 – Branchement d’une clé USB ou d’un disque dur USB.

6-1 Les clés USB.

Rien à dire sur les clés USB. Reconnaissance automatique sans aucun problème.

 

6-2 Un disque dur USB.

C’est plus compliqué, franchement, nous sommes de retour à l’ère préhistorique sous Linux !

Pour un disque dur externe qui se connecte en USB, c’est plus complexe.

– Si le disque USB est ancien en IDE, en SATA ou plus récent, la détection ne fonctionne pas, car manque d’énergie via 2 ports USB.

– J’utilise un HUB USB auto-alimenté, le disque est présent, mais il n’est pas monté sous Raspbian.

Dans un terminal je tape :

sudo blkid

Valider.

J’ai mon disque dur USB qui est présent, mais pas monté.

/dev/sda1: LABEL=”Ubuntu-Studio 14.04  …….i386″ TYPE=”iso9660″

HDD250GoUSBHub01

Dans mon cas, pour monter mon disque USB et ainsi me permettre de l’ouvrir sous Raspbian, je dois créer un lien entre le disque USB et un dossier où mon disque apparaîtra sous Raspbian.

Création du premier dossier :

sudo mkdir /hddusb

Valider.

Création du nom de mon disque USB externe dans le dossier que j’ai précédemment créé :

sudo mkdir /hddusb/250G

Valider.

HDDUSB001

Maintenant, je vous conseille de l’écrire dans la table des disques, pour retrouver votre HDD externe USB à chaque fois que vous le branchez sur le RBPi2B.

Il faut passer en ROOT pour modifier et enregistrer le fichier fstab :

su -i

Valider.

Il faut modifier le  fichier fstab, en tapant :

cd /etc

Valider.

nano fstab

Valider.

Dans mon cas, à la fin du fichier, j’ajoute :

/dev/sda1 /hddusb/250G iso9660 defaults 0 0

Enregistrer et quitter. Il faut faire CTRL x et valider par “o” pour oui… et encore valider l’enregistrement du fichier sous le même nom.

modif fstab hdd250G

Il faut sortir du mode “ROOT” dans notre terminal, en tapant :

exit

Valider.

Redémarrer votre nano-ordinateur.

Lancer  votre explorateur de fichier.

Explorateur

Enfin j’ai un résultat, mais c’est vraiment laborieux !

 modif fstab hdd250GEnfin

 

7 – Connexion à distance sur le Raspberry Pi 2 B. (Utilisation de SSH)

Il y a une façon simple de se connecter à distance sans rien installer sur le RBPi2B, c’est d’utiliser la fonction SSH.

Comment ?

Sur le RBPi2B, il n’y a rien à faire, mais seulement démarrer la bête !

Connectez-vous avec votre nom et votre mot de passe.

Démarrer un terminal, par exemple LXTerminal dans le menu.

Taper :

ifconfig

Valider.

Vous trouverez dans le charabia qui s’affiche des informations sur votre carte réseau en : eth0

Et surtout ce qui est important l’adresse IP de cette carte réseau, ex dans mon cas : inet adr:192.168.1.60

Garder cette information “192.168.1.60”, vous en aurez besoin par la suite.

Sur un PC sous Windows, il suffit de télécharger le fichier “putty.exe”, ici :

http://www.chiark.greenend.org.uk/~sgtatham/putty/download.html

 

PuTTY01

 

 

Maintenant, lancer le programme en cliquant sur “putty.exe”.

 

PuTTY02

 

 

Mettre l’adresse IP que vous avez notée précédemment “192.168.1.60” dans la case, comme sur l’image ci-dessus. Ne pas toucher au Port.

Cliquer sur “Open”.

 

PuTTY03

 

 

Valider par oui et vous arrivez sur la fenêtre de connexion.

login as :

Il ne reste plus qu’à taper votre nom d’utilisateur “pi” et ensuite votre mot de passe “raspberry” .

C’est fait, vous êtes sur votre RBPi2B via un serveur SSH sous Windows, dans un terminal en mode console.

 

 

8 – Connexion à distance avec TightVNCserver.

 

J’utilise le tutoriel que j’ai déjà fait sur TightVNCserver, pour mes autres nano-ordinateurs.

Dans un terminal, vous devez taper :

sudo apt-get install tightvncserver

Valider.

Valider par oui en tapant :

o

Pour oui, à chaque fois que cela vous sera demandé !

TightVNCserver003

Ensuite, dans le même terminal, nous allons le configurer, en tapant :

tightvncserver

Valider.

Taper votre premier mot de passe :

raspberr

Valider.

Une deuxième fois :

raspberr

Valider.

Enfin taper non à la question “You will like to enter a view-only password (y/n) :”

n

Valider.

TightVNCserver002

Noter les informations qui s’affichent à l’écran, vous en aurez besoin par la suite.

Dans mon cas j’ai :

raspberrrypi:1

TightVNCserver001

Je tape ifconfig pour vérifier mon IP :

ifconfig

Valider.

Résultat, j’ai : 192.168.1.60

Sur votre PC installer UltraVNC, en téléchargeant ici : http://www.ultravnc.fr/download/out.php?id_lien=8

Décompresser le fichier *.zip et ensuite lancer :

vncviewer.exe

Résultat en tapant mon adresse IP + l’information qui était indiquée ci-dessus : 192.168.1.60:1

 

UltraVNC

 Je clique sur “Connexion”.

TightVNCserver01

 

C’est plus pratique pour faire mes tutoriels depuis mon PC.

 

Pour créer un démarrage automatique de TightVNCserver, vous pouvez lire la solution à la fin de ce tutoriel, ici :

http://www.framboise314.fr/prenez-la-main-a-distance-sur-votre-raspberry-pi-avec-vnc/

 

9 – Installation d’une clé Wi-Fi USB.

Pour mon premier test, j’utilise une clé Wi-Fi, compatible Raspbian/Lubuntu/Android sous Banana Pi, c’est la clé que j’utilise sur mon Banana Pi. “Micro 150M USB WiFi Adapter BPI-WF710S 2.0”.

Wi-FiBananaPi

J’installe ma clé Wi-Fi dans un port USB de libre. Mon RBPi2B est éteint bien sûr !

Je branche mon adaptateur secteur, le RBPi2B démarre.

Dans un terminal LXTerminal, taper :

ifconfig

Valider.

Vous devez avoir “eth0” pour la carte réseau RJ45 et “lo” pour la boucle locale et enfin “Wlan“.

Si vous n’avez pas Wlan, il faut normalement installer les drivers Wi-Fi.

Pour confirmer la non-présence du Wi-Fi, taper :

iwconfig

Valider.

J’ai un problème avec cette clé, lors du redémarrage plantage du système etc….

Je passe à un autre dongle Wi-Fi.

NETGEAR USB N150 Wi-Fi.

Une autre clé Wi-Fi, que je possède, mais qui ne fonctionnait pas sur le Banana Pi, c’est une NETGEAR WNA1000M.

Cette clé fonctionne parfaitement sous Windows ……

Wi-FiUSB00

On la trouve à environ 7 €.

Wi-FiUSB02       Wi-FiUSB01

J’installe ma clé Wi-Fi dans un port USB de libre.

Mon RBPi2B est éteint.

Wi-Fi N150 sur RBPi2B

Je branche mon adaptateur secteur, le RBPi2B démarre.

Dans un terminal LXTerminal, taper :

ifconfig

Valider.

Vous devez avoir “eth0” pour la carte réseau RJ45 et “lo” pour la boucle locale et enfin “Wlan“.

Pour confirmer présence du Wi-Fi, taper :

iwconfig

Valider.

Le fait de ne pas avoir d’adresse IP pour l’instant pour le Wlan, c’est tout à fait normal.

Surprise !

Ce dongle micro-adaptateur USB sans fil N150 de NETGEAR, fonctionne parfaitement.

Pour se connecter sur votre Wi-Fi via votre box ADSL, il suffit, en haut à droite, de cliquer sur l’icône réseau à gauche de l’heure, avec le bouton gauche de la souris.

IcôneRéseau

Dans la liste qui s’affiche choisir le nom de votre box et ensuite il ne reste plus qu’à rentrer le mot de passe de votre réseau Wi-Fi.

NEtgearN150-02

Valider.

NEtgearN150-01

C’est fini et ça fonctionne de suite.

Il n’y a vraiment pas plus simple, c’est plutôt cool !

Vérification de l’adresse IP de ma clé USB Wi-Fi, en tapant dans un terminal :

ifconfig

Valider.

NEtgearN150-03

10 – L’utilisation des GPIO sur le Raspberry Pi 2 Version B.

Je ne vais pas m’étendre sur le sujet, mais simplement vous donner des liens vers lesquels vous pourrez trouver votre bonheur.

Pour bien débuter sur l’utilisation des GPIO, je vous conseille les liens ci-dessous :

10-1 Les GPIO.

http://pi4j.com/pins/model-2b-rev1.html

GPIO-003

Un site interactif pour visualiser les informations sur chaque pin du GPIO :

http://pi.gadgetoid.com/pinout

Gpio-002

10-2 Des petits programmes pour tester les GPIO sous Scratch et sous Python.

Un super exemple de programme qui utilise l’outil Scratch pour allumer une LED :

https://www.raspberrypi.org/learning/robot-antenna/worksheet/

GPIO-004

Un autre test de GPIO, sous Python :

https://www.raspberrypi.org/learning/quick-reaction-game/worksheet/

 GPIO-001

 

Et bien plus encore, sur le web !

 

 

 

11 – L’audio et la vidéo.

 

11-1 Audacity et VLC.

 

Avant de suivre ma procédure, je vous conseille de la lire, car je vous montre mon cheminement pour réussir à activer le son et la vidéo sous Raspbian.

Il faut commencer par activer l’option audio sous Raspbian. Dans le menu, cliquer sur “Préférences” et “Audio device settings”.

Ce n’est pas une obligation, vous pouvez passer à la suite.

AudioRaspbian01

Vous devez maintenant cliquer sur “Contrôles”, dans la fenêtre qui vient de s’afficher.

Ensuite, en haut de la fenêtre, vous avez le nom du contrôleur, c’est :

BCM2835 ALSA (ALSA mixer)

AudioRaspbian02

AudioRaspbian03

Nous devons installer un logiciel pour lire les fichiers audio et vidéo par exemple.

VLC, c’est un bon choix pour la vidéo mais aussi l’audio !

Mais après mes tests, il semble ne pas fonctionner correctement avec l’ensemble des fichiers.

Ouvrir un terminal, comme “LXTerminal”, nous sommes en SU, c’est-à-dire en Super User, nous pouvons donc taper directement :

sudo apt-get install vlc

Valider.

RaspbianInstallVLC01

Répondre “o” pour oui, lorsque cela s’affiche. L’installation installe les programmes et drivers si nécessaire.

RaspbianInstallVLC02

Le son et la vidéo passent correctement sur une TV HD via le câble HDMI.

RaspbianInstallVLC03

Pas de son via le convertisseur HDMI/VGA+Audio. Le son est configuré par défaut vers le HDMI.

Pourtant, j’ai du son lorsque je clique bouton droit de la souris sur l’icône audio proche de l’horloge en haut à droite et que je choisis Analog, pour activer la sortie casque.

Son choisir HDMI-Casque

J’installe Audacity pour l’audio.

Vous n’êtes pas obligé d’installer Audacity, mais ce petit logiciel et le TOP pour la gestion de l’audio.

Dans le même terminal, je tape :

sudo apt-get install audacity

Valider.

Test du son avec un fichier audio, MP3 ou Mid pour midi, Wav…

Le son fonctionne correctement via la prise HDMI vers ma TV HD.

Pas de son en sortie HDMI avec mon convertisseur HDMI/VGA+audio

J’ai du son via l’icône son, en haut à droite proche de l’horloge. Je clique dessus bouton droit de la souris et je choisis la sortie que je désire : Analog/HDMI.

Son choisir HDMI-Casque

Analog pour la sortie casque du RBPi2B

HDMI, via la sortie HDMI pour récupérer le son.

11-2 Omxplayer.

Lire une vidéo depuis un terminal avec “omxplayer“, qui est déjà présent dans la distribution, mais seulement en mode consoles, dans un terminal.

Pas de son via mon convertisseur HDMI/VGA+Audio, mais le son passe directement dans ce cas par la sortie casque du RBPi2B.

Placer une vidéo sur votre bureau par exemple.

Dans un terminal, taper :

cd Desktop

Valider.

Dans mon cas j’ai un répertoire avec mes vidéos, je tape donc :

cd AudioVidéo

Valider.

Taper ls pour lister les fichiers dans le répertoire :

ls

Valider.

Maintenant taper cette ligne avec le nom de votre vidéo dans mon cas c’est :

sudo omxplayer MileyCyrus.mp4

Omxplayer02

Je suis sur mon RBPi2B via un client VNC, ma vidéo s’affiche sur le moniteur que j’ai branché sur la prise HDMI et comme je l’indique plus haut, le son passe par la sortie jack “casque”.

C’est une autre méthode !

11-2 Vidéo sur Youtube.

Le plus simple c’est d’installer via LXTerminal, un navigateur web qui accepte la lecture flash.

Taper directement dans un terminal :

sudo apt-get install iceweasel

Valider.

Ensuite, vous pouvez lancer le nouveau navigateur via le Menu, “Internet”, “Iceweasel”.

Tester, cela fonctionne bien pour le son mais la vidéo n’utilise pas l’accélération matérielle. L’image est donc saccadée.

Youtube via Iceweasel

C’est dommage !

 

12 – Démarrage automatique de votre session.

Pour démarrer votre Raspbian et arriver directement sur l’environnement graphique et sans taper votre nom d’utilisateur, ni votre mot de passe, il faut modifier les paramètres dans raspi-config.

Ouvrir un terminal comme “LXTerminal”.

Taper :

sudo raspi-config

Valider.

raspi-configDémarrAuto3

Sélectionner la ligne comme sur l’image ci-dessous.

raspi-configDémarrAuto4

Ensuite, valider votre choix.

raspi-configDémarrAuto5

C’est fait, quitter et redémarrer, vous arriverez directement sur votre environnement graphique.

 

Dans mon cas, je ne l’utilise pas, car je me connecte sur mon Raspberry Pi 2 B, à distance via mon client VNC. Cela m’évite d’avoir des erreurs sur ma config de Raspbian par la suite.

Après avoir validé le démarrage automatique, le RBPi2B démarre en 41 secondes avec une micro SD de catégorie 4 en 8Go.

 

C’est plutôt lent, je m’attendais franchement à mieux !

 

 

 

13 – Installer une caméra USB (Webcam).

Installation des pilotes pour la gestion d’une caméra USB, 1er prix.

J’ai fait un test avec Guvcview, mais cela ne fonctionne pas. Je vous donne la marche à suivre pour l’installer, mais celle qui fonctionne est en dessous.

Dans un terminal LXTerminal, taper :

sudo apt-get install guvcview

Valider.

Répondre par “o” pour oui.

Valider.

Ensuite, dans le “Menu” “Son et vidéo , vous pouvez cliquer sur “guvcview“.

Comme je l’indique ci-dessus, cela ne fonctionne pas.

Mais il y a une autre solution !

Je vais installer les pilotes pour Luvcview.

Dans un terminal, taper :

sudo apt-get install luvcview

Valider.

Enfin, vous pouvez lancer le logiciel en tapant :

luvcview -s 640×480

Valider.

 

LuvcviewConfig01

C’est enfin fonctionnel !

 

 

 

Voilà, j’en ai terminé avec cette deuxième partie.

 

Troisième partie du Raspberry Pi 2 B, ici : Raspberry Pi 2 version B, le multimédia avec OSMC, troisième partie.

 

.

 

Banana Pi en test, deuxième partie.

Banana Pi, suite de mes tests, deuxième partie.

Dans ce tutoriel, vous trouverez je l’espère plein de petites informations et bidouilles utiles pour vous aider à trouver une solution face à une problématique !

Bonnes bidouilles… 

En tout cas moi, j’ai pris énormément de plaisir à tester cette petite bestiole qu’est le “Banana Pi”.

 

Plan du tutoriel.

 

1-Android 4.2.2 : Installation d’Android 4.2.2 sur carte SD, ainsi que les tests.

2-Serveur VNC : Accès au bureau à distance du Banana Pi, via un serveur VNC.

3-Vidéos Youtube : Mes tests sur l’affichage des vidéos sur Lubuntu.

4-Session bloquée : Blocage au démarrage de votre session sous Lubuntu (C’est un problème récurrent !)

5-Créer des comptes : Créer des comptes utilisateurs et administrateurs.

6-SATA : Utilisation d’un disque dur en BOOT, c’est impossible !

7-HDD SATA : Préparation du matériel pour brancher un disque dur sur le port SATA.

 

 

1-Android : Installation d’Android 4.2.2 sur carte SD, ainsi que les tests.

Dans cette deuxième partie, je vais poursuivre mes tests et commencer par l’installation d’Android 4.2.2. J’attendais Android 4.4 (KitKat), tel qu’il était annoncé sur le  site, mais cette version n’est toujours pas disponible à ce jour ! 

La procédure n’est pas la même que pour installer une distribution Linux (ex : Lubuntu,Fedora….)

Une information importante ! Si vous n’arrivez pas à faire démarrer Android sur une carte SD, prenez en une autre, car j’ai constaté que sur deux cartes SD différentes en catégorie “4”, les deux installent sans problème Linux, mais une seule me permettait d’installer Android ????

 

A- Procédure d’installation pour Android 4.2.2.

A-1 : Préparation de la carte SD (sous Windows).

Insérer votre carte SD dans votre ordinateur. Vous devez utiliser une carte SD ou micro SD+Adaptateur SD de 4G ou plus.

Formater la carte SD :

Télécharger l’outil de formatage «SD Formater» depuis : https://www.sdcard.org/downloads/formatter_4/eula_windows/

C’est un super programme, car ce petit programme permet en activant l’option “On“, de formater votre carte SD et les partitions cachées ou partitions Linux etc.”

Décompresser et installer le programme “SD Formater“. 

Démarrer «SD Formater» en cliquant sur son icône sur le bureau ou dans la liste de vos programmes. 

Vous devez toujours vérifier que la carte SD correspond à celle que le logiciel détecte.

Cliquer sur “Option” et choisir “on”.

BPi5

Maintenant et seulement après avoir fait la vérification décrite ci-dessus, vous pouvez  cliquer sur le bouton “FORMAT”.

A-2 : Installation d’Android sur la carte SD.

Télécharger l’image d’Android, ici : “site en maintenance !

Un autre site pour le téléchargement en lien direct, ici : https://docs.google.com/file/d/0B38hUt6ypQXDQ1E5TVp0Zjg2a00/edit?usp=sharing&pli=1

Comme je le dis plus haut, je n’ai pas le choix pour Android, car pour l’instant, la seule image disponible c’est une version 4.2.2.

Décompresser le fichier téléchargé, deux fois. La première fois pour passer de Android_For_BananaPi_v2_0.tgz, en Android_For_BananaPi_v2_0.tar. Ensuite, dans un sous-répertoire, vous devez décompresser le fichier *.tar et après vous trouverez encore dans un autre sous-répertoire Android_For_BananaPi_v2_0.img, qui est l’image de l’OS à installer sur votre SD.

Nous allons maintenant installer l’image de l’OS sur notre carte SD.

Pour cela il faut télécharger l’outil suivant “PhoenixCard_V310_20130618“.

Le lien, ici : https://docs.google.com/file/d/0B38hUt6ypQXDVTB6cWJXZ3ZGNkE/edit?usp=sharing&pli=1

Décompresser le fichier et lancer le programme “PhoenixCard.exe” depuis son répertoire. 

Important ! Le logiciel PhoenixCard ne fonctionne pas sur un port SD de votre PC, il faut obligatoirement utiliser un adaptateur USB/SD pour installer Android sur la carte SD.

Vérifier encore si le logiciel a bien détecté la bonne carte SD. Choisir l’image que vous avez précédemment téléchargée et décompressée “Android_For_BananaPi_v2_0.img“.

Vérifier bien les options sur l’image ci-dessous.

Lorsque j’installe mon adaptateur USB/SD avec ma carte SD formatée précédemment, le logiciel la détecte (pour moi c’estIpour vous c’est une autre lettre qui s’affichera dansDiskCheck“).

Ensuite, cliquer dans “Img File” pour rechercher sur votre PC l’image suivante “Android_For_BananaPi_v2_0.img“, valider.

Dans la zone “Write Mode” vous devez choisir l’option “Startup !“, enfin vous cliquez sur “Format normal“.

(Le message suivant s’affiche dans une fenêtre quand c’est OK “Format Card To Normal Mode Success !”) 

Ce n’est pas fini !

Maintenant cliquer sur “Burn” à gauche.

Attendre la fin de la procédure avec patience !

Quand c’est OK, la fenêtre affiche Burn End …“, en bas à gauche.

B- Les tests.

J’insère ma carte SD dans le lecteur de carte SD face connecteurs dorés vers le haut et vers le Banana Pi.

Je pousse le bouton “Power” 2 à 3 secondes du Banana Pi et Android démarre …………………..

Le premier démarrage est très long, c’est normal !

En général, Android démarre entre 25 et 28 secondes sur le Banana Pi.

Si votre SD ne démarre pas avec Android, choisir une autre carte SD et refaire toute la procédure décrite ci-dessus !

Sous Android la sortie vidéo composite (prise jaune) fonctionne parfaitement.

Idem pour la sortie HDMI.

 

B-1 Premier démarrage.

L’environnement est fluide. 

Je ne vais pas faire une démonstration d’Android ici, car ce n’est pas mon but dans ce tutoriel. 

B-2 Activer le réseau.

La première chose à faire c’est de modifier les paramètres pour activer le réseau “LAN“.  

Il n’y a pas de Wi-Fi,  car le Banana Pi ne possède pas en natif de carte Wi-Fi. 

Vous devez cliquer sur “Settings” ensuite dans le menu de gauche “More“, enfin sur “Ethernet” dans la fenêtre de droite. Cocher la case face à “UseEthernet“, attendre quelques secondes, ça fonctionne !

B-3 Modifier la langue ….

Suivre la même procédure que le début “B-2- Activer le réseau“. Dans la colonne de gauche descendre et choisir “Language & input“. A droite cliquer sur “Language” en haut et choisir dans la liste déroulante “Français (France)“. C’est fini vous pouvez revenir au menu de démarrage.

B-4 Créer son compte Google Play.

Si vous créez un compte Google Play, cela vous permet d’avoir accès instantanément à une multitude de logiciels et programmes et souvent en version gratuite.

Si vous avez un compte Gmail, vous pouvez l’utiliser pour accéder au Google Play.

Si vous n’avez pas de compte Gmail vous pouvez le créer, ici : 

https://accounts.google.com/SignUp?service=mail&continue=https%3A%2F%2Fmail.google.com%2Fmail%2F&ltmpl=default

Encore plus simple, vous pouvez le faire directement depuis Android. 

B-5 Accès internet et test des vidéos.

Pas de son, mais la vidéo s’affiche presque correctement, mais avec de petites latences !… 

Pour activer le son, suivre la procédure dans “B-7 Activation du son”.

Lecture vidéo sur Youtube, en mode normal c’est nickel. Après quelques secondes de synchronisation, la vidéo passe plutôt bien en HD (720P).

B-6 USB ET HDD.

Cela fonctionne correctement pour la détection des clés USB et des disques durs USB.

Toutes les vidéos se lancent, mais aucun son ! (avi,mp4…). Il faut activer le son

Pour active le son voir dans “B-7 Activation du son”.

B-7 Activation du son.

Pour activer le son pour la sortie casque du Banana Pi, car je n’ai pas de son via mon écran PC.

Vous devez cliquer sur “Settings” ensuite dans le menu de gauche descendre sur “Son” et sur “Enable Pass Through” à droite, ensuite plus bas cliquer sur “Audio output mode” et choisir “Audio_codec“. (Dans mon cas j’utilise un casque).

B-8 Accès disque SATA.

Branchement sur l’alimentation du Banana Pi  et le câble SATA, le disque ne fonctionne pas ! (Je vais vérifier mon câble…)

J’utilise un HDD SATA 2.5 Samsung de 250 Go ! (Pour information : sur la toile des tests avec un HDD de 160 Go semble fonctionner correctement)

Branchement sur une alimentation externe et le câble SATA, au redémarrage d’Android ou directement pendant le fonctionnement d’Android, cela fonctionne.

B-9 Pour éteindre Android.

Il vous suffit d’appuyer 2 à 3 secondes sur le bouton “Power” du Banana Pi.

 

2-Serveur VNC : Accès au bureau à distance du Banana Pi, via un serveur VNC.

A- Configuration de Lubuntu et installation des logiciels (paquets).

Démarrage automatique et installation des paquets logiciels.

Démarrer votre Banana Pi, ensuite sur le bureau, lancer un terminal. Ex (LXTerminal) Maintenant il faut passer en super user en tapant “su” et valider. Ensuite, taper le mot de passe de notre utilisateur bananapi avec le mot de passe “bananapi“.

Maintenant que nous sommes Super User “su“, je configure le clavier en françaisen tapant : “sudo dpkg-reconfigure keyboard-configuration“. (Choisir le bon clavier et la langue et poursuivre la configuration)

Pour installer la langue française sur le système, je tape : “sudo apt-get install language-pack-fr”. Valider par “Y” pour l’espace de stockage.

Ensuite, je vous conseille de mettre à jour la liste des paquets pour Lubuntu : “sudo apt-get update“. 

Première tentative avec le serveur Vino : (Ne fonctionne pas !)

Configuration du serveur VNC (pour la connexion à distance). Il n’est pas présent dans cette version de Lubuntu pour Banana Pi. Pour l’installer taper : “sudo apt-get install vino“, ensuite on va le paramétrer en tapant : “vino-preferences” dans un nouveau terminal en mode normal et pas en “su”. 

Configurer la fenêtre ainsi : (mot de passe : bananapi)

C’est presque fini !

Il faut maintenant connaitre l’adresse IP de notre Banana Pi, en tapant  “ifconfig”.

* Dans eth0, j’ai 192.168.1.25 sur mon réseau.

* Le mot de passe que j’ai tapé dans la fenêtre de configuration ci-dessus.

Redémarrer le Banana Pi.

Mince ! Cela ne fonctionne pas en lançant le logiciel “VNC Viewer” sur mon PC ????

Désinstallation du serveur VINO : “sudo apt-get remove vino”

Deuxième tentative avec X11VNC Server : (Fonctionne occasionnellement)

Ce n’est pas grave, je vais tester avec un autre serveur VNC, je télécharge et j’installe dans la liste de mes paquets “X11VNC Server

Paramétrage : …. Je ne vous détaille pas la configuration, car cela fonctionne très très mal !

Troisième tentative avec tightvncserver : (Fonctionne parfaitement, enfin !)

Installation du serveur VNC en “su” (Super User) : “sudo apt-get install tightvncserver

Premier lancement et configuration : “tightvncserver

Définir le mot de passe VNC, après ce message (You will require a password to access your desktops), (Password), taper : “bananapi“.

À la seconde question (Would you like to enter a view-only password (y/n)?), taper : “npour non.

La dernière ligne affiche ceci : “New ‘X’ desktop is lemaker:2“, il faut retenir “:2” pour la connexion VNC client via un PC Windows ou Linux.

Relancer le serveur VNC en tapant : “tightvncserver

Maintenant taper “ifconfig” pour connaître l’adresse IP de votre Banana Pi : pour moi c’est  “192.168.1.25”.

C’est presque fini, il ne reste plus qu’à utiliser un client VNC sur votre PC, “RealVNC” ou “VNC Viewer” sous Windows.

Lancer par exemple RealVNC, ensuite taper l’IP comme ceci : “192.168.1.25:2

Lorsque le programme vous demande le mot de passe taper : “bananapi“.

Super cool, non ! 

B- Test de la connexion sur une tablette ou un smartphone.

Installer un logiciel comme “akRDC…” ou “androidVNC”.

Activer le Wi-Fi sur votre smartphone, la tablette c’est déjà fait, non !

Démarrage du logiciel et configuration : 

Nom du raccourci : bananapi

Configuration réseau du serveur VNC : 192.168.1.25

Port tcp… : 5902

Authentification automat ……….. “VNC password” taper : “bananapi”.

Ça fonctionne, c’est normallllllllllll !

C- Test de la connexion sur un PC.

Pour tester le Banana Pi via votre PC sous Windows, il faut utiliser un logiciel gratuit comme “VNC Viewer” ou “UltraVNC Client“. Ensuite, faites l’installation sur votre PC.

Lors du lancement il suffit de taper l’adresse IP, pour mon Banana Pi c’est 192.168.1.25:2, et ensuite mon mot de passe “bananapi” que vous aviez défini précédemment.

Ça fonctionne, c’est cool !

(VNC Viewer sur PC)

D- Démarrage automatique du serveur VNC “tightvncserver”.

Dans un terminal en “su” (Super User) taper : “sudo leafpad /etc/xdg/lxsession/Lubuntu/autostart”

Et ajouter la ligne suivante : “@/root/.vnc/xstartup”

Enregistrer et quitter.

Redémarrer la session et tester.

E- Modification de la configuration d’un serveur VNC “tightvncserver”.

Une petite astuce, si vous avez comme moi installé ce serveur sur un compte “Lemaker” “…”.

Connectez-vous sur un autre compte utilisateur que vous avez créé. (Voir section : “5-Créer des comptes : Créer des comptes utilisateurs et administrateurs.”)

Relancer la configuration du serveur VNC “tightvncserver”, en ouvrant un terminal en “su“, copier cette ligne “/usr/bin/vncserver”. Refaite la procédure de configuration décrite ci-dessus pour “tightvncserver”

Je vous conseille de copier les lignes qui s’affichent dans le terminal dans un fichier *txt, car vous en aurez besoin par la suite ! (il y a lemaker:1 ou 2 et la configuration du serveur).

Pour mettre “tightvncserver” en démarrage automatique, dans un terminal :

 “sudo leafpad /etc/xdg/lxsession/Lubuntu/autostart” dans votre terminal. Dans mon cas je copie la ligne suivante :”@/home/manu/.vnc/xstartup” dans mon fichier. J’enregistre.

C’est fini.

Je redémarre et maintenant mon serveur VNC, fonctionne parfaitement sur mon nouveau compte utilisateur.

Il y aura moins d’erreurs à cause de l’accès ROOT de l’utilisateur “Lemaker”…

Important ! Il semblerait qu’après un plantage ou une modification de la configuration de Lubuntu, le serveur VNC ne démarre plus.

Il y a une solution fastidieuse à  mettre en place, que je développerais peut-être dans un autre tutoriel, mais le plus simple est de relancer la configuration de “tightvncserver”, pour le reconfigurer en utilisateur simple et non en “su”. Il faudrait même mettre une adresse IP fixe pour éviter un changement dans la configuration.

Comme je l’avais indiqué plus haut, cette version de Lubuntu, est presque stable et de toute façon on arrive presque toujours à redémarrer, même après un plantage et cela en mode terminal.

Retrousser vos manches et à vos bidouilles !

Enfin la solution !

Enfin la solution pour le démarrage automatique de tightvncserver.
Dans un terminal sous Lubuntu, taper :
leafpad ~/.config/lxsession/Lubuntu/autostart

Dans le fichier ouvert qui est vide, taper :
@/root/.vnc/xstartup
@tightvncserver

Enregister et quitter.

Redémarrer le Banana Pi.

Ça fonctionne !

La première ligne n’est peut-être pas obligatoire !

De plus, pour ne pas avoir de message d’erreur lors d’une connexion depuis un PC sous Windows,  je vous conseille soit de modifier le démarrage automatique de la session pour que le Banana Pi s’arrête au choix de l’utilisateur, soit de déconnecter votre utilisateur sous Lubuntu.

C’est une simple suggestion et cela ne plante pas Lubuntu.
😉

 

 

 

3-Vidéos Youtube : Mes tests sur l’affichage des vidéos sur Lubuntu.

Pour l’instant sur Lubuntu, c’est très  compliqué de trouver une solution simple pour activer la vidéo sur des sites comme Youtube.

Les vidéos qui peuvent passer, sont des vidéos basse résolution, mais cela ne me satisfait pas !

À suivre !

PS : si vous avez une idée n’hésitez pas à poster, merci d’avance. 

 

 

4-Créer des comptes : Créer des comptes utilisateurs et administrateurs.

Dans une session Lubuntu, cliquer sur l’icône du menu, puis sur “Outils système“, ensuite “Utilisateurs et groupes“.

Maintenant vous pouvez créer un compte utilisateur en cliquant sur “+ Add“.

Choisir un nom : “marco“, un mot de passe : “bananapi“et le type de compte “Administrateur” ou “Utilisateur de l’ordinateur“.

Ensuite, dans “paramètres avancés” choisir onglet “Privilèges utilisateur” et cocher toutes les cases !

Enregistrer et voilà, au prochain redémarrage vous aurez un nouvel utilisateur.

 

 

5-Session bloquée : Blocage au démarrage de votre session sous Lubuntu (C’est un problème récurrent !)

Astuce pour créer un nouvel utilisateur : Connecter vous avec le compte “Guest session” qui doit toujours fonctionner. Vous pouvez ici créer un nouvel utilisateur pour démarrer Lubuntu, mais ce n’est pas mon sujet. 

Sur la page d’identification de votre session :

Appuyer sur les touches “CTRL” “ALT” “F2” en même temps (les consoles disponibles sont F1 à F6), ce qui ouvre un terminal en mode console. Pour revenir au mode graphique appuyer sur les touches “CTRL” “ALT” “F7“. Maintenant choisir la session qui pose problème. Dans mon cas, il y en a plusieurs !

Vous avez “lemaker login” : vous taper le compte que vous voulez débloquer pour moi c’est “bp” ou “bananapi” …

Taper le mot de passe associé au compte “bananapi” 

Enfin, taper ceci : sudo rm ./.Xauthority” et valider.

Voilà, vous pouvez passer en mode graphique en tapant “CTRL” “ALT” “F7” et redémarrer ou éteindre le Banana Pi.

Oh ! Miracle, au démarrage, je me connecte à ma session qui ne fonctionnait plus, c’est super !

 

6-SATA : Utilisation d’un disque dur en BOOT, c’est impossible !

Une information importante au sujet du connecteur SATA.

Il est, pour l’instant, impossible de démarrer une distribution via le connecteur SATA, car le processeur A20, n’implémente pas cette fonction !

C’est faux !  “Le processeur A20 supporte  nativement le SATA”.

Cela serait possible en installant le programme de Boot sur une carte SD, qui pointe vers le disque dur SATA…

Ce n’est vraiment pas cool, car mon but était de démarrer une distribution via le connecteur SATA et cela le plus simplement possible ! 

 

7-HDD SATA : Préparation du matériel pour brancher un disque dur sur le port SATA.

Le matériel nécessaire :

– Un vieux disque dur SATA

– Un câble SATA + mon câble d’alimentation SATA (fabrication en photo ci-dessous)

– Plus simple le Kit câble SATA vers Banana Pi, disponible ici : http://e.banana-pi.fr/fr/accessoires/1-cable-sata.html

 

 

Création du câble d’alimentation en images.

Câble d’alimentation SATA modifié suite à mes tests

Branchement sur le Banana Pi et détection sur Lubuntu, ça fonctionne ! (Il faut activer le disque dur).

Je constate que mon disque dur démarre correctement une fois sur deux. Aucun problème si j’utilise une alimentation externe, voir mon exemple pour créer une alimentation stabilisée, ici : 

https://castman.fr/seconde-vie-pour-son-materiel/alimentation-stabilisee-a-moindre-cout-cest-possible/

 

Sous Android, le disque manque d’énergie sur le câble d’alimentation pour pouvoir démarrer. Fonctionne parfaitement avec une alimentation externe.

 

 

Enjoy !